1
, mais aussi dans d’autres pays, a pour véritable
sujet
non plus une nation, un régime, mais le désordre de l’époque, vu de p
2
s, c’est qu’il est parfois important de situer le
sujet
qui décrit par rapport aux objets de sa description, ne fût-ce que po
3
ur donner une clé de correction. Car selon que ce
sujet
se trouvera plus ou moins engagé dans la vie d’une nation, plus ou mo
4
ps qui ne soit rythmé que par les lois intimes du
sujet
fascinant. Chaque œuvre veut et crée son temps à elle, dans la vie de
5
ment condamné à ne plus aborder en public que les
sujets
admis par la censure, et ce n’était, littéralement, pas beaucoup dire
6
n Sinclair du fond de la Californie alerte à leur
sujet
deux éditeurs. Sur leur demande pressante, je leur envoie le livre. L
7
une cinquantaine de pages, sans ratures, sur les
sujets
les plus variés. En outre, terminé, tapé avec deux doigts, et envoyé
8
îne au café. Il avait des questions à me poser au
sujet
d’un de mes livres dont il devra parler au séminaire de littérature.
9
tervient : — Donnez-moi d’abord un article sur ce
sujet
, pour ma revue. L’offre est tentante, la revue tirant à 5 millions. J
10
ès un certain temps d’interruption, on ramène les
sujets
« conditionnés » dans la même chambre. La sirène hurle, les singes se
11
o font parasites. Il faut sauter dans le vif d’un
sujet
, sans précautions de langage ni fausse humilité. Puis s’efforcer de s
12
de faire en un quart d’heure la psychanalyse d’un
sujet
. Terme imprévu, et qui peut-être se révélera mieux qu’amusant, d’une
13
York la plupart de ces films qui empruntent leur
sujet
à certains épisodes véridiques de la Résistance (l’Underground comme
14
u proprement incroyable. Je ne trouve ici d’autre
sujet
de m’étonner que de n’en point trouver, justement. Tout est pareil à