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nécessairement, par la force des choses, avec un
super-État
. Nous répondrons en renvoyant nos études sur l’autorité et le pouvoir
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nous voulons ne sera pas unitaire, ne sera pas un
super-État
unifié et centralisé, car son génie s’appelle diversité. Elle ne sera
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de : nous sommes en 1932. Einstein déplore que le
super-État
qu’il rêve soit dépourvu d’une force à sa mesure. Il la cherche en va
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it, la situation s’est renversée. Ce n’est pas un
super-État
qui attend son arme, mais cette arme qui attend un pouvoir à sa taill
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rême de l’individu celui qui le lierait à quelque
super-État
. Quant à cette unité de culture toute nourrie de nos diversités, T.
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pas) et de communauté, de supranationalité et de
super-État
, ou encore d’États-Unis d’Europe, comme si ces termes étaient, à tout
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rême de l’individu celui qui le lierait à quelque
super-État
.65 5. Fédérer n’est pas mélanger Aux nationalistes maussades
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réalable à l’union de l’Europe l’institution d’un
super-État
, c’est-à-dire d’un gouvernement appuyé sur une armée et sur un puissa
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sant cette fois-ci à l’intégration totale dans un
super-État
européen. Cette deuxième « idée » du fédéralisme, inverse de la premi
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sant cette fois-ci à l’intégration totale dans un
super-État
européen. Cette deuxième « idée » du fédéralisme, inverse de la premi
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mal ! Il ne s’agit pas de transformer l’Europe en
super-État
, mais d’assembler harmonieusement des unités intelligibles, pacifique
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es sont faciles à imaginer, sinon à réaliser : un
super-État
européen, sur le modèle de l’État-nation français ; un État fédéral e
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isse. 3. Europe de Bruxelles, de Strasbourg ou
super-État
européent a) L’Europe de Bruxelles ou la Communauté élargie. S’il
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c) Je passerai sans m’y arrêter sur le modèle de
super-État
européen, dont personne ne veut (il ne sert que de punching-ball pour