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urtout me fascinait, avant que je ne découvre les
surréalistes
. Mon premier article, publié à l’âge de 17 ans, dans la Semaine litté
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ayé de relire Cicéron dans l’espoir de le trouver
surréaliste
… Eh bien non ! C’est vraiment très ennuyeux… » Je le trouve un jour
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n conversation avec Artaud et Roger Vitrac, poète
surréaliste
qui avait l’air d’un grand garçon boucher, gentil d’ailleurs. Tandis
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es merveilleuses avec ses amis peintres et poètes
surréalistes
« réfugiés » aux États-Unis, Max Ernst, Yves Tanguy, Matta, Aimé Césa
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r avoir été tolérée par ses jeunes amis du groupe
surréaliste
reformé à New York. Cela lui pose un problème très sérieux. Nous en p
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boyant a toujours été l’un des dogmes de la secte
surréaliste
. Tout d’un coup, il a trouvé la solution : « Nous allons demander à M
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été et de Tel quel, l’André Breton des Manifestes
surréalistes
, le Saint-Exupéry de Terre des hommes, Jean Paulhan et Roger Caillois