1
tragique de cette mystification : la plupart des
surréalistes
n’ont rien à dire, mais savent admirablement parler. Ils érigent donc
2
réelles. On souhaite qu’après faillite faite, les
surréalistes
trouvent à montrer leur talent en des jeux moins lassants. Dada, écla
3
ndait une certaine sympathie. L’agaçant, avec les
surréalistes
, c’est que — pour reprendre un mot de Cocteau — ils « embaument de vi
4
roman, à la vie gratuite que prétendent mener les
surréalistes
, il n’a fallu que le temps pour une folie de s’emballer. La plupart d
5
plus importants de notre psychologie. Images des
surréalistes
— ils l’indiquent eux-mêmes —, calembours, expression métaphorique et
6
9. Ce serait au moins la liberté ! crieront les
surréalistes
. Voire. On est moins libre à Moscou qu’à Montparnasse. D’ailleurs leu
7
quent pas sur la détresse morale de la génération
surréaliste
. Mais tandis que la plupart en sont encore à des symboles équivoques
8
cet ombrageux personnage une manière de Rousseau
surréaliste
. Devant cette ostentation de révolte, ce mélange de fanfaronnade et d
9
es mais non dépourvues d’une sombre grandeur, des
surréalistes
, et en même temps par cette solution universelle, la foi, il résume e
10
être. Et l’on voit bien ici qu’Aragon dépasse ces
surréalistes
, ces orthodoxes de l’absurde confondu avec le poétique, ou ces discip
11
uels (novembre 1928)at Les derniers écrits des
surréalistes
débattent la question de savoir s’ils vont se taire ou non. Mais leur
12
t en pratique universellement méprisées. Mais les
surréalistes
ont leur responsabilité là-dedans ; leur défense de l’esprit s’est bo
13
compte. Et quant à l’orthodoxie instaurée par les
surréalistes
, elle appelle notre impertinence. Nous adorons ailleurs. bg. « Léon