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3. J’inclus dans « cette littérature » la révolte
surréaliste
. Une révolte qui n’a pas su s’assigner des buts constructifs échoue t
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aire rendit un très mauvais service aux écrivains
surréalistes
en les prenant pour ce qu’ils croyaient être : des novateurs, des cré
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e critique dont l’intérêt dépasse tout ce que les
surréalistes
nous ont donné jusqu’ici. Il y a là une puissance de réflexion et de
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mprend plus du tout la légèreté avec laquelle les
surréalistes
adoptent les méthodes de Staline, si rigidement rationalistes. Elles
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rté réelle et plus féconde que la contrainte. Les
surréalistes
sont fondés à parler du « vent de crétinisation qui souffle de l’URSS
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Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)ai Les
surréalistes
ont un sens typographique étonnant : pas une de leurs publications qu
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e la conférence d’Éluard à Londres, sur la poésie
surréaliste
, résume tout le vrai et tout le faux de ce mouvement. Thème, repris d
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communs). Je pense que la pureté dont parlent les
surréalistes
devrait impliquer la rigueur. Et une exigence d’« évidence ». ai. «