1
générale qu’un mythe est une histoire, une fable
symbolique
, simple et frappante, résumant un nombre infini de situations plus ou
2
autour duquel s’est constitué le groupe. (Récits
symboliques
de la vie et de la mort des dieux, légendes expliquant les sacrifices
3
un cadre où elle pût s’exprimer en satisfactions
symboliques
. (Ainsi l’Église avait « compris » le paganisme dans ses rites.) Or s
4
issement de l’action. Et ici le mot prend un sens
symbolique
: l’action empêche la « passion » d’être totale, car la passion, c’es
5
s. Mais une chasteté volontaire, c’est un suicide
symbolique
— (on voit ici le sens caché de l’épée). C’est une victoire de l’idéa
6
it à l’auteur du Roman primitif. De quel matériel
symbolique
— apte à cacher ce qu’il fallait traduire — disposait-il au xiie siè
7
t archétypique, psychique et mystique, concret et
symbolique
, ou si l’on veut littéraire et religieux. Les données du problème son
8
Âge, on s’aperçoit que l’absence de signification
symbolique
d’une poésie serait un fait beaucoup plus scandaleux que ne peut être
9
ret » des troubadours était en somme une évidence
symbolique
aux yeux des initiés et des sympathisants de l’Église d’Amour. Normal
10
ent être commentés et expliqués d’une manière non
symbolique
… Une objection inverse a été faite : comment se peut-il que jamais un
11
l’on vient de dire sur la mentalité « naïvement »
symbolique
des médiévaux : leurs symboles n’étaient pas traduisibles en concepts
12
e manichéisme déguisé, sur la foi de leur langage
symbolique
. Al-Hallaj et Sohrawardi devaient même payer de leur vie cette accusa
13
x, dans l’homme occidental, le retour d’un Orient
symbolique
. Il nous devient intelligible par certaines de ses marques historique
14
des bizarreries de la légende et de son attirail
symbolique
. Faut-il penser, avec un transcripteur moderne, qu’« il est fort vrai
15
de la Nuit. 51. Désignée généralement par un nom
symbolique
ou senhal, exactement comme les mystiques soufis désignent Dieu dans
16
tique, qui ne laisse oublier ni la lyre ni l’épée
symbolique
du défi à la société constituée ! Est-il beaucoup de nos poètes qui a
17
ang, il enfreint la règle des « purs ». Le baiser
symbolique
, il le ravit par force, il le profane. Et voici déchaînées les puissa
18
»119. Cette forme de « dénuement », physique mais
symbolique
, est encore pratiquée de nos jours par la secte des Doukhobors (« com
19
ole, c’est qu’elle rénove consciemment le langage
symbolique
des troubadours. Les Siciliens étaient tombés dans un douteux allégor
20
e dire est la nouveauté) que la Dame est purement
symbolique
. Tel est le secret paradoxal de l’amour courtois : guindé et froid qu
21
ame ! Et qui douterait encore de la signification
symbolique
de la Dame, lorsqu’un Guido Guinizelli en parle comme du principe de
22
ésotérique de la chevalerie légendaire. La nature
symbolique
des sujets qu’ils reprennent les induit simplement à composer d’inter
23
es par la guerre. Et j’insisterai sur cet exemple
symbolique
: nous ne faisons plus de « déclarations d’amour » dans le même temps
24
libre cours mais sous l’égide et dans les cadres
symboliques
d’une cérémonie sacrale. C’est un équivalent sportif de la fonction m
25
la mort s’y marient dans un paysage artificiel et
symbolique
de très haute mélancolie. « L’héroïsme par amour — voilà le motif rom
26
ettent dans la littérature, les fêtes et les jeux
symboliques
. « En tant que principe militaire, la chevalerie était devenue insuff
27
’où résulte que la défaite d’un pays ne sera plus
symbolique
, métaphorique, c’est-à-dire limitée à certains signes convenus, mais
28
an n’est pas fidèle à une promesse, ni à cet être
symbolique
, ce beau prétexte, qui s’appelle Iseut, mais à sa plus profonde et se