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s entrevoyons que l’idée russe, sera peut-être la
synthèse
de toutes les idées développées par l’Europe. » Sa dernière espérance
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blème des relations Est-Ouest, et tente une vaste
synthèse
des valeurs religieuses russes, des catégories dialectiques européenn
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mmédiats et à long terme. Puisse ce bref essai de
synthèse
représenter déjà, et en lui-même, un premier acte d’éducation europée
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Automation-loisirs-éducation (juin). Analyse et
synthèse
des travaux du premier séminaire tenu au CEC sur ce thème, les 21 et
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Un essai de
synthèse
(mai 1958)bb Les méthodes que l’on vient d’exposerbc sont difficil
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itions, oppositions et convergences : un essai de
synthèse
», Bulletin du Centre européen de la culture : « Méthodes et mouvemen
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a méthode culturelle »), proposa d’en réaliser la
synthèse
.
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nture, ceux durant lesquels se nouera la première
synthèse
spécifiquement européenne. Brugmans, comme Dawson et G. de Reynold, s
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ne publication (par les soins du CEC) donnant une
synthèse
des motifs du dialogue et de ses méthodes. Et nous voudrions 2° que c
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s que les risques. […] Avant que l’on passe à la
synthèse
des opinions émises au cours de cette première partie de nos débats,
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est elle-même une culture de dialogue, née de la
synthèse
difficile et jamais achevée d’Athènes, de Rome, de Jérusalem, de trad
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ouve renforcée et confirmée par cette remarquable
synthèse
. bv. « Avant-propos », Bulletin du Centre européen de la culture :
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a d’autres chats à fouetter que de méditer sur la
synthèse
des facultés de l’esprit humain. La juxtaposition de facultés étanche
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oblème des relations entre savoirs spécialisés et
synthèse
de nos connaissances n’est guère qu’un cas particulier. Le paradoxe e
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ûrement au général, ou tout au moins au seuil des
synthèses
nécessaires. c) Mais ces synthèses ne tomberont pas du Ciel, elles n’
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s au seuil des synthèses nécessaires. c) Mais ces
synthèses
ne tomberont pas du Ciel, elles n’apparaîtront pas objectivement et c
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ésultats en soi acquis par les spécialités. Toute
synthèse
est un acte créateur, intervenant au carrefour de plusieurs vérités h
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jusqu’alors inaperçues. C’est dire que l’œuvre de
synthèse
qu’exige l’état présent de notre culture et de nos universités devrai
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s » sur lesquels et à partir desquels l’esprit de
synthèse
pourrait s’exercer. Le nombre optimum des participants de tels groupe
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otre affaire. Ce qui importe, ce n’est pas que la
synthèse
s’opère dans le vide, ou au ciel des Idées — car là sans doute toutes
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au ciel des Idées — car là sans doute toutes les
synthèses
imaginables existent déjà en puissance ; et pas non plus qu’elle s’in
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résultat objectif ; ce qui importe, c’est que la
synthèse
s’actualise, qu’elle s’opère donc dans un esprit, dans une personne,
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enfin, ce qui nous manque, ce sont des hommes de
synthèse
, un type nouveau d’hommes de pensée en qui s’incarne une sorte de con
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nvisager la création d’instituts ou de centres de
synthèse
, établis à l’échelle européenne, je veux dire supranationale. J’en im
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’Europe intellectuelle. Là vivent ces « hommes de
synthèse
» dont je vous parlais tout à l’heure : professeurs de tous âges et d
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ésirs. Quant aux relations entre un tel centre de
synthèse
et les universités existantes, on les imaginera sans peine. L’introdu
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te que vous tiriez de mes propos, cet institut de
synthèse
serait idéalement ce dont on parle un peu partout, plus ou moins bien
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poésie des troubadours et le roman celtique ; la
synthèse
de ces grands phénomènes culturels pouvant être localisée à la cour d