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enser, mais jamais un système politique ni aucune
synthèse
humaine n’aura de droit sur nous en tant que personnes, en tant que v
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’homme. Sortir du paradoxe pour s’évader dans une
synthèse
quelconque, rationaliste, romaine, ou marxiste, c’est sortir de la ré
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mmode de nommer « américain ». 3° L’hérésie de la
synthèse
est inhérente à tout système rationaliste du monde, soit qu’il préten
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mant les conflits purement humains dans le jeu de
synthèses
successives, il achemine l’espèce vers un équilibre final, morne répl
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de l’accusation plus subtile des partisans de la
synthèse
. Comment un homme qui se réclame de Calvin et de Luther, c’est-à-dire
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cilité de réalisation. La politique est un art de
synthèses
pratiques ; son office est de résoudre dans la mesure de l’utile des
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on « possible », dès qu’elle offre aux hommes des
synthèses
où ils trouvent la sécurité, mais qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus
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mprévisibles et concrets de la Parole. Point de «
synthèse
», point de « consolation » ailleurs qu’en Dieu : notre action baigne
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ire ; ils placent leur espoir dans l’avènement de
synthèses
successives, acheminant l’espèce vers un équilibre final, triste répl
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rétien. Les autres, avec Proudhon, refusent toute
synthèse
, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pa
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orique, la croyance optimiste et inhumaine en une
synthèse
, en un « troisième terme » dialectique, — tout comme Kierkegaard crit
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rine économique, dont on peut trouver la première
synthèse
dans l’ouvrage important d’Aron et Dandieu : la Révolution nécessaire