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s qu’une sagesse supérieure saurait conduire à la
synthèse
. Je vois le danger. Mais il faut voir aussi que l’union finale des es
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de antique, crée l’idée de personne qui permet la
synthèse
de l’idée grecque d’individu et de l’idée romaine de citoyen, et main
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qui nous travaille. Sans répit nous cherchons des
synthèses
, des méthodes d’exclusion de la contradiction, des conduites praticab
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ne ne saurait être conçue, par exemple, comme une
synthèse
harmonieuse d’individualisme et de collectivisme, non plus que la san
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it qui assume les incompatibles. La passion de la
synthèse
, ressort de nos recherches et de tout l’effort scientifique, naît et
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cette tension. S’il est vrai que le secret de la
synthèse
est de « comprendre » les incompatibles, cela ne peut se produire que
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lie, non moins acharnés qu’Athanase à trouver une
synthèse
« catholique »… Une démonstration analogue à celle que je viens d’esq
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et pour soi (An und für sich) de l’esprit absolu (
synthèse
). On peut affirmer sans nulle crainte que ces produits extrêmes de la
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aire fournit à notre esprit le moyen de penser la
synthèse
dont la christologie éveille l’attente et l’exigence dans l’homme nat
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icité, plus despotisme byzantin, c’est-à-dire une
synthèse
de tyrannie à l’orientale, de technique à l’occidentale, et de princi
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itiés. Comment les accorder ? Ce serait faire une
synthèse
de la foi et de l’utopie. On peut prévoir que l’utopie, échouant long