1 isme (en termes étonnamment modernes) comme « une synthèse psycho-sensible ». L’érotisme est donc tout autre chose qu’un euphémi

2 ipe et comme catégorie spirituelle. L’érotisme, «  synthèse psycho-sensible » et déterminée par l’esprit, exige désormais un lang

3 pour le Mari des Étapes, qui voulait voir dans la synthèse d’une décision et d’une inclination le plus haut risque, et même un r

4 el, le social et le sentimental. Supposons que la synthèse des trois termes s’opère, et qu’il en résulte un vrai couple. Cela si

5 utre des personnes composant le couple. Une telle synthèse peut devenir plus ou moins stable, mais ne saurait être en aucun cas

6 mariage qui parvienne à maintenir sans crise une synthèse dans la durée des éléments variés dont nos deux mythes symbolisent l’

7 temps », comme le dit le Mari de Kierkegaard, la synthèse vivante de l’instant, de la durée et de l’éternité. Celui qui a résol

8 oplasme, où ils sont les agents d’induction de la synthèse des protéines. Tant que les deux sont à l’œuvre, la cellule fonctionn

9 lule fonctionne bien, son régime d’échanges et de synthèses est créateur : on pourrait dire qu’elle est « heureuse ». Mais voici

10 ces antagonistes, et sa durée sera le produit des synthèses qu’elles induisent en permanence. Qu’un seul des mythes vienne à conv

11 Le fédéralisme, au contraire, se définit comme la synthèse perpétuelle de deux tendances antagonistes : l’autorité centrale et l

12 homme individuel, et cette croyance est née de la synthèse du christianisme. Elle n’existe pas hors de lui, et n’est pas explica

13 esprit, comme tout autre élément impliqué dans la synthèse de la personne. Deux déviations morales, symétriques, la tentent dès