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es en mathématique ; la sociologie et les grandes
synthèses
historiques ; la relativité généralisée et la physique nucléaire ; l’
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ition même de notre vie. Et nous avons à créer la
synthèse
des connaissances acquises en divergence, comme au hasard, par l’ère
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a d’autres chats à fouetter que de méditer sur la
synthèse
des facultés de l’esprit humain. La juxtaposition de facultés étanche
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éthode fédéraliste qui peut fournir la formule de
synthèse
. Dans le domaine qui nous occupe ici de l’enseignement supérieur, tro
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ûrement au général, ou tout au moins au seuil des
synthèses
nécessaires. Mais ces synthèses ne tomberont pas du Ciel, elles n’app
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oins au seuil des synthèses nécessaires. Mais ces
synthèses
ne tomberont pas du Ciel, elles n’apparaîtront pas objectivement au t
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e des résultats acquis par les spécialités. Toute
synthèse
est un acte créateur, intervenant au carrefour de plusieurs vérités h
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jusqu’alors inaperçues. C’est dire que l’œuvre de
synthèse
qu’exige l’état présent de notre culture et de nos universités, devra
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s » sur lesquels et à partir desquels l’esprit de
synthèse
pourrait s’exercer. Le nombre optimum des participants de tels groupe
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mieux notre affaire. Ce qui importe, c’est que la
synthèse
s’actualise, qu’elle s’opère donc dans un esprit, dans une personne,
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enfin, ce qui nous manque, ce sont des hommes de
synthèse
, un type nouveau d’hommes de pensée en qui s’incarne une conscience c
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c envisager maintenant la création d’instituts de
synthèse
établis à l’échelle européenne, précisons : supranationale. J’en imag
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’Europe intellectuelle. Là vivent ces « hommes de
synthèse
» dont je parlais : professeurs de tous âges et de toutes spécialités
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toire. Quant aux relations entre un tel centre de
synthèse
et les universités existantes, on les imaginera sans peine. L’introdu
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niz et son Ars Combinatoria. Mais cet Institut de
synthèse
, ne serait-il pas idéalement ce dont on parle un peu partout, plus ou
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té, voire de véracité contrôlée et mesurée. Cette
synthèse
, qui est l’œuvre du Moyen Âge, dès le xiiie siècle, produit ses effe
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est elle-même une culture de dialogue, née de la
synthèse
difficile et jamais achevée d’Athènes, de Rome, de Jérusalem, de trad