1 1988, Inédits (extraits de cours). Introduction [par François Saint-Ouen et Jean Mantzouranis]
1 rt à les définir. Tout lecteur qui chercherait la synthèse se verrait opposer une œuvre qui refuse la synthèse et lui préfère la
2 nthèse se verrait opposer une œuvre qui refuse la synthèse et lui préfère la « tension ». Notre travail a débuté en décembre 198
2 1988, Inédits (extraits de cours). Culture
3 t à la théologie. 2. De la spécialisation à la synthèse créatrice 9 décembre 1966 Dans l’univers du savoir humain, faculté
4 n de la tour de Babel. 9 décembre 1966 L’œuvre de synthèse qu’exige l’état présent, l’état babélique de notre culture et de nos
5 on a quelques chances de voir surgir l’éclair de synthèse créatrice. Il faudrait donc des hommes de synthèse, un type nouveau d
6 ynthèse créatrice. Il faudrait donc des hommes de synthèse , un type nouveau d’homme, de pensée, qui ait une sorte de conscience
3 1988, Inédits (extraits de cours). Fédéralisme
7 nte positive, il faut un pacte, qui n’est pas une synthèse (au sens hégélien) de l’unité et de la diversité. 19 novembre 1976 Po
8 r un des termes ou de tenter de les fondre en une synthèse nécessairement abstraite, il s’agit, au contraire, de rechercher la m
4 1988, Inédits (extraits de cours). Histoire
9 ensée de Hegel et dans la sienne, qui refusait la synthèse . Il s’en tenait à une dialectique en deux points, thèse et antithèse,
10 mme et les contradictions du réel au profit d’une synthèse logique et mécanique : c’est celle de Hegel et de Marx. L’histoire, a
11 pproche, celle de Proudhon par exemple, refuse la synthèse et voit dans la contradiction toujours ouverte, le moteur de la vie e
5 1988, Inédits (extraits de cours). Liberté
12 e les confondre dans la recherche d’une illusoire synthèse , par un système fédéraliste où l’autorité de l’État a précisément pou
6 1988, Inédits (extraits de cours). La personne
13 mme en relation avec son prochain. Donc, c’est la synthèse — je pourrais dire, pour jouer un peu avec les mots — du solitaire et
14 1966 La personne ou la fédération ne sont pas des synthèses de deux termes, ni des solutions qu’on obtiendrait par un sacrifice d
15 par l’antithèse, et les deux sont assumées par la synthèse . Dans la synthèse, ni la thèse, ni l’antithèse n’existent plus comme
16 t les deux sont assumées par la synthèse. Dans la synthèse , ni la thèse, ni l’antithèse n’existent plus comme telles : elles son
17 n ; elles ont été prises, digérées, et donnent la synthèse , qui peut être une chose unique ; il n’est plus question de tension.