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iversités locales, régionales, idéologiques. Tout
système
centralisé ou institution qui aurait pour effet de déprimer les auton
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ies du monde, devenu désormais unité théorique et
système
de relations pratiques. L’Europe et l’Europe seule a fait tout cela,
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ue générale de Ferdinand de Saussure, science des
systèmes
de signes, l’explication qui lui manquait de la prohibition de l’ince
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marxistes (du jeune Marx surtout). À l’opposé du
système
hégélien, avec sa triade thèse, antithèse, synthèse, nous voulions la
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r subirait les conséquences. L’unification par le
système
des régions paraissait encore parfaitement utopique il y a un an ou d
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é aux êtres qu’aux idées et aux situations qu’aux
systèmes
, d’où son sens politique intuitif et ses vues parfois prophétiques :
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tituteurs. Or rien n’est plus faux : j’en veux au
système
scolaire, dont les instituteurs sont victimes, et qu’ils perpétuent m
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stituteurs qui souffrent d’être paralysés dans le
système
actuel, et qui me disent : « Merci, vous nous vengez. » Vos critiques
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» Vos critiques semblent s’adresser surtout à un
système
scolaire très centralisé, comme le système français. Conviennent-elle
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t à un système scolaire très centralisé, comme le
système
français. Conviennent-elles vraiment à la Confédération suisse, où l’
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militarisée au service de l’État-nation. Dans le
système
actuel, il serait pratiquement impossible de déscolariser la société,
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ous « fédéralisme » : vous trouverez que c’est un
système
de sauvages, ou bien une utopie attribuée aux girondins — c’est-à-dir
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avec l’administration. La réalité, c’est tout le
système
scolaire. Mais ils ne peuvent jamais faire face à ce problème. Il fau
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ibre statique s’installe : c’est la mort. Tout ce
système
est cohérent. Vous en trouverez les racines dans la théologie, dans l
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auteur se livrait à un éreintement impitoyable du
système
scolaire, “vaste distillerie d’ennuis”, “puissance de crétinisation l