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s grossières et démagogiques de l’excellence d’un
système
dont il importe que les victimes ne mettent jamais en question les bu
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r maintenant que sur son caractère de jugement du
système
. Les circonstances actuelles y prêtent, il faut le dire, plus qu’il n
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rice, ils ont substitué pour les besoins de leurs
systèmes
l’individu abstrait, l’atome désigné par un chiffre et dépourvu de ré
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icace, est celle que nous opérons au cœur même du
système
régnant. Que trouvons-nous, à l’origine permanente des erreurs qui, d
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constatons immédiatement que, lorsqu’on édifie un
système
et un ordre : A) si l’on ne part pas de l’acte, on ne part pas du tou
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liberté humaine ne se trouve pas à l’origine d’un
système
, il ne se trouvera pas non plus dans ses conséquences pratiques ; d’a
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arlement (octobre 1933)e Le Parlement, dans le
système
actuel, a deux missions : d’une part, coordonner le travail de tous e
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lle a fait l’Empire colonial, elle a constitué un
système
d’alliance qui nous a sauvés en 1914 et on lui doit, pour ne citer qu
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ue la guerre est une des pièces indispensables du
système
capitaliste. Mais ils s’arrêtent à la dénonciation des moyens et des
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x conceptions sont également à la base de tout le
système
marxiste-stalinien. Elles y sont même plus rigoureusement formulées q
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nt même plus rigoureusement formulées que dans le
système
parlementaire. C’est pourquoi nous considérons le communisme comme l’
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oins d’ordre strictement politique. On voulait un
système
fondé sur l’homme-en-général. On se battit pour ce système et on l’ob
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ondé sur l’homme-en-général. On se battit pour ce
système
et on l’obtint. On perdit de vue les hommes, dans leur diversité. L’É
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te réalité de la personne responsable. Tout notre
système
en découle, toutes nos revendications s’y rapportent. Nous n’avons pa
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ut simplement l’affligeante absence de rigueur du
système
parlementaire qui leur permet de glorifier ce « moins » — d’étiquette
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sé trop suspect à leur orthodoxie laïque. Mais le
système
capitaliste vient donner à leur politique les puissantes sanctions qu
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dre nouveau ? Égaliser toutes les différences, le
système
du rouleau compresseur ? Vous n’êtes pas trop réalistes, en France.
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. Mais est-ce qu’il n’y en a pas aussi dans votre
système
« fédéraliste » ? Et, de plus, vous laissez de côté cette nécessité d
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sur les non-conformistes les plus fanatiques. Le
système
repose sur deux organisations : les éditeurs et les critiques. La plu
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est plutôt victime, souvent inconsciemment, d’un
système
qui le tient de tous côtés. Faut-il donc accuser les éditeurs ? Jusqu
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État national-socialiste ne peut pas appliquer le
système
de référendum, et doit se borner au plébiscite, malgré ses prétention
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quêtes futures, militaires ou pacifiques. Dans le
système
de l’État-nation, tout référendum doit nécessairement se ramener, d’u
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cette conclusion, au moment où nous critiquons le
système
apparemment tout contraire des élections partisanes. Si nous sommes a
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ission de l’esprit inventeur ; enfin que c’est le
système
capitaliste qui est responsable de la crise, et non pas le machinisme
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arthaginois. C’est ainsi que la logique rigide du
système
devait conduire au conflit armé avec Carthage, source profonde, si in
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s la pax romana coûte de plus en plus cher. Et le
système
exige un nombre croissant de fonctionnaires : nombre qui égalera pres
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la première crise économique « fonctionnelle » du
système
capitaliste. Les marchés connus et exploités sont saturés. Les grande
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s puissances décident solennellement de passer au
système
de la non-intervention dans le sens d’abstention. Et l’on prévoit déj
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pas ici de décrire en détail le fonctionnement du
système
, mais de montrer que les moyens d’action du Conseil suprême doivent ê