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s le chaos et vers la décadence ? Ou bien dans un
système
de tensions créatrices sans cesse accrues, orienté vers la restitutio
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s de la tâche, bien au contraire, mais à cause du
système
adopté. Trois vices de construction C’est le système qu’il fau
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opté. Trois vices de construction C’est le
système
qu’il faut donc réformer, et c’est encore trop peu dire : il s’agit d
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iné il y a sept ans les créateurs de l’Unesco. Le
système
souffre de trois vices majeurs : il est trop vaste, il est centralisé
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entière une vérité que l’on n’éteindra plus : le
système
totalitaire est un crime contre l’homme et ses jours désormais sont c
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ouvait estimer injustifiées et nuisibles : “Aucun
système
de gouvernement, dit-il, n’est exempt de vices. Cette critique que no
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uveront ! Littré le définit ainsi : « Néologisme.
Système
, doctrine du gouvernement fédératif », et le décrit, d’après Chateaub
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uppose un instinct politique opposé à l’esprit de
système
et au rationalisme rhétorique. Il doit rester incompréhensible à ceux
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: M. Schlichting (Pays-Bas) fait ressortir qu’un
système
supranational pourra contribuer à desserrer les liens étroits que les
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des croyants. Finalement, le matérialisme devenu
système
général de pensée, sera décrété doctrine d’État par l’URSS. Mais tand
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la matière et la pensée. Ils en déduisent tout un
système
du monde qu’ils qualifient de panthéiste. Car si le cosmos est vraime
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dès l’instant que la première est conçue comme le
système
total des lois d’un Univers par ailleurs inimaginable. (D’où la tenta
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s’agit de maintenir avec un soin jaloux, c’est le
système
des conventions sacrées entre l’homme et les forces naturelles. Ce n’
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érieuse et scientifique échafaude par la suite le
système
de ses « lois ». Elle prétend « satisfaire » des besoins que personne
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machine humaine entièrement calculable. C’est son
système
, non la machine, qui asservit l’homme. Mais Taylor a créé ce système
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hine, qui asservit l’homme. Mais Taylor a créé ce
système
selon les conceptions matérialistes de l’homme issues du siècle des L
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ne illustraient trop clairement les vices de tout
système
dictatorial. Que faire pour donner le change, quand on ne veut rien c
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e question plus gênante : le stalinisme est-il un
système
différent — si peu que ce soit — du bolchévisme en général ? Il le fa
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e stalinisme, autre chose que ce qu’il dit que le
système
était « nécessairement », ou « historiquement », pour l’URSS ? D’autr
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adavre ! Et comme l’existence vient se moquer des
systèmes
et de leur dialectique ! Si l’on déduit du « stalinisme » selon Sartr
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prouve que le stalinisme ait jamais existé comme
système
défini, en dehors de l’action de Staline ; rien ne prouve que l’actio
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e et nazisme, en effet, ne sont pas seulement des
systèmes
, mais des systèmes totalitaires. Il n’y a donc pas, en eux, à prendre
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fet, ne sont pas seulement des systèmes, mais des
systèmes
totalitaires. Il n’y a donc pas, en eux, à prendre et à laisser. (Je
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ure, et K. suppose Staline, qui l’a fait. Dans un
système
totalitaire, par définition tout se tient. Il est parfaitement stupid
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, ou les deux, de prétendre appliquer à un pareil
système
des critères sélectifs qui valent à plein pour nos régimes démocratiq
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imes » furent commis : ils étaient la praxis d’un
système
cohérent, comme le délire paranoïaque sait l’être. Rien ne prouve que
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ffirme) ; ils étaient les moyens généraux de tout
système
totalitaire, ou les moyens particuliers d’un impérialisme national co
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, sincèrement, je n’en doute pas, sur la foi d’un
système
d’étiquettes proposé par les communistes. La dialectique servait à co
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léniniste et monolithique de tous les échelons du
système
? K., hier encore, la proclamait vitale. Insoluble problème, et les r
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crimes de Staline » apparaissent comme le fait du
système
tout entier. Une analyse marxiste des crimes de Staline est-elle pos
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ffet de le réhabiliter, mais d’incriminer tout le
système
— soit que la méthode elle-même ne vaut rien dans ce cas ; mais alors
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ue des communistes, le capitalisme n’étant pas un
système
cohérent, encore moins un régime totalitaire. Ou l’antiaméricanisme s
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es États-Unis, sont des amas de réalités, non des
systèmes
logiques ou organiques. L’esprit critique peut opérer dans ces amas l
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u’elle « représente » l’adversaire principal d’un
système
qui, selon M. Joliot-Curie, « exige l’exploitation et l’esclavage d’i
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le habitants, qui deviennent propriétaires par un
système
que l’on nommerait de nos jours location-vente. « Il commande des mai
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es russes en Tchécoslovaquie. Ce qui maintient le
système
dans les pays de l’Est, c’est la simple menace d’une intervention rus
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ni ayant raillé la Démocratie, tous ceux que leur
système
révoltait à juste titre ont cru devoir du même coup défendre sans rés
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é pour s’y rallier. Mais on ne retiendra de notre
système
actuel que quelques procédés que vous approuvez d’ailleurs, parce que
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. — Le Vrai, le Beau, le Bien, en somme, un vieux
système
… Il a bien peu de chances… R. — Ce sont les chances de l’homme. La n
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tion lyrique, la chronique incisive et les vastes
systèmes
, et qui a le sens de la grandeur réelle, parce qu’elle prend une mesu
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rmir la vigilance des partisans de la liberté. Le
système
n’en devient pas moins faux, pour être trahi par les siens. Mais pres
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e ans69. Alors la Terre jouera peut-être dans le
système
solaire, pour commencer, le rôle joué par la Grèce dans l’Empire roma
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n peut même dire que l’Utopie se définit comme un
système
sans avenir. Car ainsi que l’a bien vu Toynbee, les utopies sont en r
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troniques” sera peut-être transmis directement au
système
nerveux par des messages électroniques en code. » Hermann Müller anno
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te de l’indépendance, suivie de l’imposition d’un
système
de valeurs étranger. Regardons alors l’Occident. Il ne cesse de renou
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a volonté et les moyens d’étendre à l’univers son
système
de valeurs, sans mériter d’être taxé d’impérialisme ou d’orgueil prov
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prochain, son antiracisme foncier et son refus du
système
des castes en font une religion missionnaire par essence. D’autre par
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s durables et compatibles entre elles que dans un
système
fédéral. On me demandera pourquoi et je répondrai d’abord que cela se
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n dépit du Littré, il faut choisir entre les deux
systèmes
— l’un étant paraît-il moins fédéral que l’autre et représentant par
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mal — qu’on me dise alors ce que l’on choisit, du
système
suisse ou de son nom ? La Confédération helvétique est le type même d
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invétéré qui essaie de se mettre à la page. Un
système
bon pour les sauvages Mais Littré nous apprend autre chose, sur ce
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comment Littré présente ce mot : Fédéralisme. «
Système
, doctrine du gouvernement fédératif. Le fédéralisme était une des for
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n de la passion, bien plus qu’elle ne relève d’un
système
politique ou social différent ; en d’autres termes, l’hostilité du pa
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u zen » ! Il n’a que faire d’une doctrine ou d’un
système
; mais peut-être, dans certains de ses livres, a-t-il jeté un pont, u
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à l’auteur qui écrit des drames, des romans, des
systèmes
. Ce journaliste-là, préoccupé d’une immortalité tout à fait impossibl
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eign Affairs. Mais alors, comment expliquer qu’un
système
condamné par l’Histoire ait permis de tels résultats que l’Union sovi
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iction ne saurait plus exister entre les buts des
systèmes
en présence. On ne voit plus en quoi la victoire idéologique du commu
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on, peut donc juger quel est le meilleur des deux
systèmes
. » Ce que K. continue d’appeler la « lutte idéologique » entre l’Est
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es yeux qu’une lutte de vitesse, et le « meilleur
système
» est simplement celui qui va mener le plus vite au même but ! Avouez
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commandé pour le douteux profit de n’importe quel
système
, fût-il celui de nos États, c’est dans cette mesure-là que nous étion
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e penser que notre refus « systématique » de leur
système
suffisait bien, et que le dialogue eût été temps perdu avec des offic
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e qui permette de juger qu’une forme de vie ou un
système
d’institutions n’apportent pas seulement un Progrès, mais un Bien.
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fiable. En effet, tout homme pensant dispose d’un
système
, plus ou moins « original » mais toujours unique, d’appréhension de l
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éhension de la réalité sous toutes ses formes. Ce
système
définit son individualité. Or je ne regarde ici et n’essaie de saisir
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vois enfin que la personne de Kierkegaard est ce
système
qui se définit par la mise en tension et l’interdépendance de trois r
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quilibre en mouvement, et que la résultante de ce
système
d’échanges soit positive pour l’une et l’autre des personnes composan
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rrigée par de Gaulle lui-même) consisterait en un
système
de pactes politiques et militaires, et de traités économiques entre p
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d’une situation étrangement contradictoire. Notre
système
est foncièrement hostile à ce que l’on nomme ailleurs la politique. M