1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
1 va d’un mouvement rigoureusement logique jusqu’au système de sa folie. Mais l’irruption de cette « magie » est si violente qu’e
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
2 couvrent. Ils se rendorment, ou bien édifient des systèmes (qu’ils se garderont d’habiter). Ceux qui persistent cependant, s’ape
3 essayons de « jouer » la vie, de la réduire à un système de conventions qui nous rassurent, de la découper en « parties » indé
4 il. Il nous saisit à ce moment précis où tous les systèmes s’évanouissent devant l’effroi du choix concret. Maintenant, tu vas t
3 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
5 ités en forme, c’est qu’ils ne constituent pas un système , au sens philosophique du mot, mais qu’ils s’impliquent très étroitem
4 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
6 cette œuvre et cette personne ne comportent aucun système  : mais il est si totalement exprimé qu’on ne peut plus le distinguer
7 lus de crainte que de satisfaction. Ramuz fait au système soviétique certains reproches que d’autres, avant lui, avaient bien s
8 t, le point qui détermine l’orientation réelle du système . On a beaucoup écrit sur l’œuvre de Ramuz. Mais presque rien sur sa p
9 e ne poussera jamais la volonté de style jusqu’au système et à l’abstrait — jusqu’au cubisme. Pour le physionomiste, le seul pr
10 a culture, les assurances d’une noble origine, un système délicat de conventions et de prudences. Ramuz commence là où tous les