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’esprit communautaire qui seul put permettre à ce
système
, aussi peu légaliste que possible, de fonctionner et de durer. La nat
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as de pouvoirs nettement définis. C’était tout ce
système
souple, organique, coutumier et non légal, reposant sur le sens civiq
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qu’avait conçu le Zurichois : il s’agissait d’un
système
d’alliance de combourgeoisie entre les cités germaniques et suisses,
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urgeoisie entre les cités germaniques et suisses,
système
auquel devaient s’intégrer peu à peu la France, le Danemark et Venise
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ns du Centre continuaient à se gouverner selon le
système
des Landsgemeinde. Mais les cantons dont le « chef-lieu » était une c
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ectrice, une méfiance prononcée à l’égard de tout
système
politique logiquement formulé5. Le terme de fédéralisme n’apparaît da
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nomies juxtaposées, sa méfiance profonde pour les
systèmes
, les idéologies, les hégémonies personnelles ou spirituelles, la Suis