1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 ssion interdite, l’amour inavouable, se créent un système de symboles, un langage hiéroglyphique, dont la conscience n’a pas la
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 eté d’un écrivain que de se borner à déclarer son système personnel de références. Ce que j’appelle Orient, dans cet ouvrage, c
3 le-même, puisque celle-ci prend sa source dans un système fixe de lois, qui seront codifiées sous le nom de leys d’amors. Mais
4 and de ce professeur les dispensait de réfuter un système incompatible avec le clair génie de notre race. Il reste donc d’une p
5 isions de langage, la rhétorique courtoise et son système de vertus, de péchés, de louanges et d’interdits, demeure un fait pat
6 note Hubert, font certainement partie de ce vaste système de concurrence et de surenchère. » (II, p. 234.) Enfin, l’on sait que
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
7 on aurait un homme nouveau, au lieu que, dans le système actuel, on perd celui qu’on avait sans profiter de celui qu’on a détr
8 iège des ouvrages fortifiés, capture du chef : un système de règles précises, donc un art, désignait le vainqueur. Et ce vainqu
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
9 nheur Le mariage cessant d’être garanti par un système de contraintes sociales ne peut plus se fonder, désormais, que sur de