1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 uels feraient encore partie d’elle-même et de son système de référence. Et je dis l’aventure occidentale, parce que je n’entend
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
2 une3, multiplie les sous-castes, et fait durer le système pendant trois millénaires, en dépit de tous les efforts des réformate
3 çaise marquent les étapes de cette dissolution du système social tripartite hérité de l’ancêtre aryen. Sur l’arrière-fond commu
4 it qu’on pense qu’il n’y a pas de Dieu — selon le système Sankya et le bouddhisme — soit qu’on pense, selon l’Advaïta, que Dieu
5 comme le Toi de l’homme ; et l’Asie par ceux des systèmes philosophiques et religieux de l’Inde qui conçoivent que le Tout n’es
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
6 enne. Et ce n’est pas une méthode, une ascèse, un système , ce n’est pas le cours d’un astre, tracé par d’autres astres, ni un c
7 a Thora juive (quoi qu’il en pense) mais c’est le système entier du monde antique, oriental autant que romain. Et cette Foi qu’
8 certaines affirmations d’une grâce divine dans le système Vishishtâdvaita : il s’agit d’influences chrétiennes. 17. Épître aux
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
9 ur un Hegel qui proclame qu’il tient la clé et le système d’une médiation universelle par l’Idée, il y a toujours un Kierkegaar
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
10 ay » ? Tout homme de peu de foi se rassure par un système , ou fait un Plan. Mais projeter devant soi l’utopie calculée, c’est r
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
11 des croyants. Finalement, le matérialisme devenu système général de pensée, sera décrété doctrine d’État par l’URSS. Mais tand
12 la matière et la pensée. Ils en déduisent tout un système du monde qu’ils qualifient de panthéiste. Car si le cosmos est vraime
13 dès l’instant que la première est conçue comme le système total des lois d’un Univers par ailleurs inimaginable. (D’où la tenta
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
14 s’agit de maintenir avec un soin jaloux, c’est le système des conventions sacrées entre l’homme et les forces naturelles. Ce n’
15 érieuse et scientifique échafaude par la suite le système de ses « lois ». Elle prétend « satisfaire » des besoins que personne
16 machine humaine entièrement calculable. C’est son système , non la machine, qui asservit l’homme. Mais Taylor a créé ce système
17 hine, qui asservit l’homme. Mais Taylor a créé ce système selon les conceptions matérialistes de l’homme, issues du siècle des
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
18 lusion s’impose au vu de ce résumé : c’est que le système des castes et de l’esclavage est le système normal des sociétés qui p
19 ue le système des castes et de l’esclavage est le système normal des sociétés qui pensent avoir et représenter la Vérité. Chrét
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
20 yndicalisme et des belles rêveries de Fourier aux systèmes des coopératives. D’où l’ensemble des lois tendant à protéger les ouv
21 et enfin, et surtout, qu’on décide d’instituer un système (dont le nom n’importe pas) qui distribue les bénéfices de la techniq
10 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
22 ds. Les maux d’une technique étrangère à tous ses systèmes de pensée le trouvent beaucoup plus démuni que ne le fut l’Occident d
23 pas moins exclusifs, encore qu’ils simplifient le système de références et qu’ils excluent les critères d’exclusion réputés non
24 x de la personne. Il s’agit donc de comparer deux systèmes de conventions de base, l’un tolérant et inclusif, l’autre unitaire m