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sation patriarcale de la société — de laquelle le
système
trinitaire est inséparable — ni la conception de la « personne » qui
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e que représente l’homme sur la terre, atome d’un
système
solaire, atome lui-même d’une galaxie, atome à son tour de l’espace-t
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d’autres le ridiculisent comme s’il n’était qu’un
système
de morale et d’évasions plus ou moins hypocrites. C’est dans cette si
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que deux. Le déterminisme scientifique, avec son
système
de lois rigides, tel qu’il subsiste encore dans l’esprit des masses d
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à remplacer l’action de la Personne divine par un
système
impersonnel, contre lequel il n’y a pas de recours. Et enfin, on doit
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est la vérité ? Elle est dans l’idéal ou dans le
système
des plus forts. Et bien entendu, tous les moyens leur seront permis p
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s auditoires que le christianisme est le meilleur
système
de vie dans le siècle, celui qui peut empêcher les grèves, maintenir
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nt est tenu pour illusion ou mauvaise foi par les
systèmes
qui triomphent dans le siècle. Faible, parce qu’elles agissent comme
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enne, de l’historisme, de la philologie, puis des
systèmes
sociologiques et philosophiques qui se mirent à pulluler dès le xixe
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homme ou d’un organisme collectif condamnera tout
système
qui, mécaniquement, empêche la réalisation de cette vocation. Elle co
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on selon leur vocation réelle. Elle condamnera le
système
du capital privé dans la mesure où le mouvement des biens de la puiss
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r l’exercice d’une vocation. Elle condamnera tout
système
économique qui fait de l’homme le jouet des intérêts de l’État, d’un
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’anarchie individualiste qui ruine la base de son
système
d’impôts, du recrutement de ses armées, et d’une manière plus général
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en lumière l’intention polémique qui animait ces
systèmes
et fit leur grand succès, mais qui limite aussi leur valeur scientifi
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qui limite aussi leur valeur scientifique. Peu de
systèmes
, sans doute, méritèrent à ce point qu’on dise d’eux qu’ils ont « fait
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crire ailleurs que « l’utopie se définit comme un
système
sans avenir ». Le christianisme est un parti (ou plutôt un ensemble