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s. À quoi s’ajoute le fait que l’introduction des
systèmes
d’industrialisation dans les structures sociales du tiers-monde non p
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mblables, tels que la vulnérabilité aberrante des
systèmes
économiques, proportionnelle à leur centralisation et à leur gigantis
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ments collectifs. De ces pressions accrues sur le
système
économique ont résulté une forme nouvelle d’inflation généralisée, et
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on, chômage, récession, instabilité croissante du
système
monétaire international, constituent donc les aspects d’une seule et
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cercles vicieux qui constituent la crise, dans le
système
productiviste au sein duquel ils s’affrontent. Un dernier mot : le pi
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tion de la perception par l’individu de l’état du
système
économique, social et politique dans lequel il vit. Or, cette percept
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ains, mais qui surtout permettrait d’accéder à un
système
d’approvisionnement en énergie qui serait intégré aux autres activité
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ifs que de profits rapides obtenus aux dépens des
systèmes
et des régimes de relations sociales, psychologiques et culturelles d