1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 mlet. Seulement, tandis que le roi Claudius avait séduit la reine, c’est de l’Église qu’abuse la doctrine édulcorée que la fou
2 ne l’écouterait. Il faut donc qu’il commence par séduire le public, qu’il le force à devenir attentif, toutefois sans trahir l
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
3 st dialogue avec les forces naturelles qu’il faut séduire tout en leur obéissant. D’où « l’inadaptation » que notre esprit rati
3 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
4 a dû suivre un Maître cynique et brutal, qui l’a séduite et humiliée. Il m’interdit de lui parler. Je lui dis pourtant mon amo
5 fiter de son sommeil. Au matin, c’est elle qui le séduit  ! Commence la longue fuite du beau-père et de la fille, traqués par l
6 États-Unis73. Jusqu’au jour où Lolita s’échappe, séduite par un autre homme d’âge mûr qu’Humbert tuera. À 17 ans, mariée depui
7 st enlevée par un puissant politicien qui l’avait séduite quand elle était encore « une gamine ». Le docteur réussit à rejoindr
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
8 t la difficulté, précisément, n’a pas cessé de me séduire et inciter. Je suppose qu’il est devenu banal de déplorer l’obscurité
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
9 ser de nous demander avec inquiétude s’il va nous séduire … et de redevenir enfin le peuple confiant et résolu que nous sommes e
6 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
10 c, si l’on ose dire, l’absolu nihilisme moral. Il séduit par la seule énergie du désir. Je ne l’imagine pas du tout comme que
11 les, il l’invite à entrer, fait un geste. « Il ne séduit pas mais il désire, et ce désir a un effet séducteur. » Non seulemen
12 ritable de la femme consiste en sa volonté d’être séduite … C’est pourquoi elle ne se fâche jamais contre son séducteur, du moin
13 contre son séducteur, du moins s’il l’a vraiment séduite  ».97 L’érotisme de Don Juan s’oppose à l’Éros antique, qui était psy
14 dans chaque femme réelle, c’est ce qui veut être séduit et qui ne peut l’être qu’une fois. Au contraire, le Mari qui prendra
15 l’enfer, — c’est la dernière connaissance qui le séduit . Peut-être qu’elle aussi le désappointera comme tout ce qu’il a connu
7 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
16 d’Étranger. À la question d’une femme qu’il veut séduire  : « Ah ciel ! Homme, qui es-tu ? » le Don Juan de Tirso de Molina rép