1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 stoire — ces poètes ont mis toute la distance qui sépare l’archétype profond de la littérature décorative. Revenons au réel, c
2 un dédoublement, si l’adjectif ne se serait point séparé du substantif pour devenir lui-même un substantif. Et voilà qui nous
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
3 lgré tout, aux gibelins et aux guelfes. L’islam a séparé la part de Japhet de celle de Sem et de celle de Cham. Il n’y a donc
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
4 succession, la légitimité du mariage. Un pécheur séparé du pape n’est littéralement rien. En face du pape, pourtant, voici qu
5 s, Jacobites, Maronites et le reste. Les Grecs se séparèrent de l’unité de l’Église romaine lorsque tu envahis Constantinople. Ils
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
6 e sépare les corps et non les âmes. Jadis le Rhin séparait le Français de l’Allemand, mais le Rhin ne peut séparer le chrétien d
7 t le Français de l’Allemand, mais le Rhin ne peut séparer le chrétien du chrétien. Les Pyrénées mettent une frontière entre les
8 peuvent partager la communauté chrétienne. La mer sépare les Anglais des Français, mais elle ne peut rompre les liens de la so
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
9 ira quelqu’un, d’accorder des peuples qui sont si séparez de volonté et d’affection, comme le Turc et le Persan, le François et
10 de la suspension d’armes, demeurera pour toujours séparé de son État… IX. — Il y aura dans le Sénat d’Europe vingt-quatre Sén
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
11 , repris-je ; mais les Chinois y ont gagné à être séparés de nous par un long espace de terre, comme les Grecs et les Romains à
12 e de terre, comme les Grecs et les Romains à être séparés par une longue suite de siècles ; tout éloignement est en droit de no
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
13 dées pendant plusieurs siècles comme des sociétés séparées , à peine liées ensemble par quelque intérêt commun, et fort indiffére
14 es provinces de l’Occident se virent avec douleur séparées de leur mère-patrie ; mais elles avaient acheté cette union par la pe
15 les Anglo-Américains ? Cette distance immense qui sépare ces peuples de la servitude des nations soumises à des rois, de la ba
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
16 ion. Et ses idées étaient européennes. Elle ne se sépara de la mère patrie que sur la seule question de la réalisation de ces
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
17 t : Nous avons arraché les haies de division qui séparaient les Français entre eux, et déjà il n’y a plus de provinces ; espérons
18 er. On voulait, en un mot, obtenir par des pactes séparés ce que le projet de Saint-Pierre promettait de réaliser par un pacte
19 es unes avec les autres, furent plus parfaitement séparées les unes des autres que ne l’ont été plus tard bien des nations de l’
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
20 ié en 1800. Les peuples du monde antique étaient séparés les uns des autres d’une manière très rigoureuse, par une foule de co
21 peuples qui, unis de toute manière, n’étaient pas séparés par ce qui d’ordinaire sépare les hommes, la constitution de l’État,
22 ère, n’étaient pas séparés par ce qui d’ordinaire sépare les hommes, la constitution de l’État, n’en ayant point en fait, se c
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
23 ue l’aboutissement nécessaire de leur action, ils séparèrent ce qui est inséparable, divisèrent l’Église indivisible et s’arrachèr
24 ent une guerre d’extermination, dès qu’elles sont séparées  ; car elles se disputent une seule et même position. Cette séparation
25 anche, défend et fixe des limites, c’est elle qui sépare l’Orient de l’Occident, le Nord du Sud, c’est elle le point d’appui d
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
26 u es trop grande pour n’être qu’une patrie. On se sépare de sa mère qui devient déesse. Encore un peu de temps, et tu t’évanou
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
27 qui est fils le christianisme lui-même, que je ne sépare pas de cette généalogie révolutionnaire ? Le christianisme est fils d
28 be et le Pô ont leurs sources principales, et qui sépare et relie en même temps les grandes nations que sont l’Allemagne, l’It
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
29 istinction nationale la plus essentielle qui nous sépare de tous les autres, et, à cet égard, nous ne sommes comme personne […
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
30 turelles ? Il est incontestable que les montagnes séparent  ; mais les fleuves réunissent plutôt. Et puis toutes les montagnes ne
31 aient découper des États. Quelles sont celles qui séparent et celles qui ne séparent pas ? De Biarritz à Tomea, il n’y a pas une
32 Quelles sont celles qui séparent et celles qui ne séparent pas ? De Biarritz à Tomea, il n’y a pas une embouchure de fleuve qui
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
33 ette prévision descriptive de la totalité, qui se sépare de la volonté agissante, devient une dérobade devant l’action authent
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
34 moment, la tendance de l’Europe vers des groupes séparés n’ira qu’en se précisant. Comme il arrive pour les poussées humaines
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
35 rance et la mort, se sent au fond de la détresse, séparé des hommes et de Dieu. Le sentiment de la misère humaine leur donne c
36 ière synthèse européenne pendant l’âge sombre qui sépare le déclin de l’Empire romain et l’aurore de « l’unité médiévale » (ve
37 rope est la seule partie du monde où nul fossé ne sépare aujourd’hui d’hier. Cette vérité éclate avec le plus de force dans l’
38 ui que pose la diffusion mondiale d’une technique séparée de l’esprit qui l’a créée. Siegfried enregistre d’abord la victoire «
39 notre continent. Nous mesurons la différence qui sépare la civilisation européenne de la civilisation occidentale, la seconde
40 lus en plus d’importance par rapport à ce qui les sépare , en face d’une humanité non européenne devenue dangereusement plus pr
41 ns le sentiment de ce qui les unit sur ce qui les sépare . Or, si notre voyage spirituel à travers l’Europe nous a appris quelq
42 a Constitution européenne doit donc distinguer et séparer avec art, comme cadre et tableau, ce qui relève de la civilisation et
43 ques collines, mais des continents que les océans séparent . Elle prendrait la tête des nations de la terre parce qu’elle serait