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re qu’aux résultats prévisibles — soit garante du
sérieux
avec lequel ils ont essayé néanmoins de répondre à notre question. No
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igne du nom ne cautionne plus19. Le seul problème
sérieux
qui doit nous occuper est le suivant : étant donné qu’il faut unir l’
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e nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense
sérieuse
de son indépendance. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les pr
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, des limites exactes de l’Europe, loin d’être un
sérieux
« préalable », est une simple sottise à l’âge des ondes et des fusées
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d’une culture devenue planétaire (et sans rivaux
sérieux
, j’y reviendrai) nous oblige à revoir certaines catégories devenues t
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notre civilisation : on ne voit pas de candidats
sérieux
à la relève d’une civilisation devenue mondiale. Nous connaissons les
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ion. Aux yeux du monde, il n’y a qu’un seul péril
sérieux
: le péril blanc ! La civilisation européenne, devenue mondiale, n’es
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par leurs machines, et le danger — beaucoup plus
sérieux
à mon sens — d’un épuisement des sources vives de l’invention, par la
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nier. Il en résultera que la culture deviendra le
sérieux
de la vie. Je résume cette première partie de mon propos : la culture
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t au contraire vers la culture, et lui donnent un
sérieux
nouveau, une importance économique croissante. Cependant un danger su
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ont fait bien plus qu’une œuvre scientifique, et
sérieuse
aux yeux des confrères : ils ont permis à l’Occident moderne de repre
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une seconde je n’ai pas su s’il était ironique ou
sérieux
) une bonne idée… Seulement ce n’est rien d’en parler. Il faut le fair
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e qui s’est passé dans la nuit de samedi. C’était
sérieux
. Attaques de saboteurs contre nos aérodromes. Mais on veillait partou
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publics. La vie culturelle est devenue la partie
sérieuse
de l’existence, en lieu et place du travail et du gain, désormais ass