1 es au seuil des temps où la culture va devenir le sérieux de la vie. (Elle l’a toujours été, mais cela se verra.) Jusqu’ici, c’

2 que où les questions religieuses deviendront plus sérieuses que ne le sont aujourd’hui les questions matérielles, les « lois » éc

3 sera donc demain. Par notre fait, dans la réalité sérieuse et quotidienne. Mais voici le paradoxe concret : les qualités techniq

4 t ailé, charmant, et secondaire ; le problème est sérieux , complexe et encombrant. Mais cela n’est vrai qu’en Occident, car on

5 la cause, il se sent indigné et inquiet. S’il est sérieux , s’il voit plus loin, cela peut aller jusqu’à l’angoisse. Or ces disp

6 plaisir d’en déchiffrer l’idéogramme. C’est trop sérieux pour les joueurs, et pour les sérieux ce n’est qu’un jeu. Pourtant, s

7 C’est trop sérieux pour les joueurs, et pour les sérieux ce n’est qu’un jeu. Pourtant, si l’on regarde un moment, mais sans jo

8 ur nos valeurs, mais de les prendre nous-mêmes au sérieux et d’en tirer les conséquences pratiques, pour le tiers-monde et pour

9 gique a pu développer ses effets sans résistances sérieuses , et comme sur table rase. En Europe, elle est née dans un contexte se

10 rquable, et qui mériterait de susciter des études sérieuses . Il y aurait lieu de vérifier d’abord s’il existe des liens latéraux

11 e, le temps est venu de les prendre nous-mêmes au sérieux . Nous n’avons pas simplement le droit de répondre à l’attente des jeu