1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
1 de témoignage où puissent être dites avec tout le sérieux , toute l’ironie, toute la décence, toute la violence qu’elles imposen
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
2 ue nous poserons ici soient accueillies : avec un sérieux et un respect si peu feints qu’ils n’excluent nullement la bonne hume
3 s qu’ils n’excluent nullement la bonne humeur. Le sérieux ne consistera jamais, pour nous, dans une attitude d’humilité lugubre
4 ur nous, dans une attitude d’humilité lugubre. Le sérieux et le respect, en présence d’une question, c’est tout simplement de s
5 uérir personne, mais à montrer que la maladie est sérieuse , si sérieuse qu’il serait ridicule d’attendre de nous ou de qui que c
6 e, mais à montrer que la maladie est sérieuse, si sérieuse qu’il serait ridicule d’attendre de nous ou de qui que ce soit un rem
7 d’autre que l’injonction de prendre vous-mêmes au sérieux vos questions. Car alors, vous approcheriez de la réponse, vous y off
3 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
8 on en use dans l’Église romaine, mais le degré de sérieux qu’on leur accorde en fait, mais l’opinion commune qu’elles sont cens
9 é ? 22. Je ne veux envisager que la controverse sérieuse . Je laisse de côté les banales invectives contre Luther qui traînent