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de témoignage où puissent être dites avec tout le
sérieux
, toute l’ironie, toute la décence, toute la violence qu’elles imposen
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ue nous poserons ici soient accueillies : avec un
sérieux
et un respect si peu feints qu’ils n’excluent nullement la bonne hume
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s qu’ils n’excluent nullement la bonne humeur. Le
sérieux
ne consistera jamais, pour nous, dans une attitude d’humilité lugubre
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ur nous, dans une attitude d’humilité lugubre. Le
sérieux
et le respect, en présence d’une question, c’est tout simplement de s
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uérir personne, mais à montrer que la maladie est
sérieuse
, si sérieuse qu’il serait ridicule d’attendre de nous ou de qui que c
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e, mais à montrer que la maladie est sérieuse, si
sérieuse
qu’il serait ridicule d’attendre de nous ou de qui que ce soit un rem
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d’autre que l’injonction de prendre vous-mêmes au
sérieux
vos questions. Car alors, vous approcheriez de la réponse, vous y off
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on en use dans l’Église romaine, mais le degré de
sérieux
qu’on leur accorde en fait, mais l’opinion commune qu’elles sont cens
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é ? 22. Je ne veux envisager que la controverse
sérieuse
. Je laisse de côté les banales invectives contre Luther qui traînent