1 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
1 jeu de cette compétition soit tout à fait pris au sérieux par les électeurs. Pourtant personne n’ignore que le sort du pays dép
2 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
2 s réactions. Lorsqu’on sait que l’on sera pris au sérieux , on dit moins de bêtises, on se contrôle davantage. Contrairement à c
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
3 eux ne rien faire, ou qu’on ne peut rien faire de sérieux , vous pouvez encore rendre un service à l’Europe ; allez-vous-en. Lai
4 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
4 yeux, sont la condition préalable à toute entente sérieuse dans les autres domaines, politiques ou économiques. Car ce sont elle
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
5 muniste, ni contestataire farfelu. C’est un homme sérieux et ouvert, doué d’esprit critique mais capable de s’enthousiasmer aut
6 idélité à l’idéal chrétien. Ils sont une prise au sérieux des principes au nom desquels notre Confédération s’est formée et qu’
6 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
7 r, donc le plus courageux de l’être — si l’on est sérieux , toutefois, ce qui n’est pas le cas, nécessairement, de tout contesta
7 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
8 convergence, mais la situation actuelle est plus sérieuse que mon petit pamphlet, avouons-le, car c’est l’école qui a fabriqué