1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 été, la solidité, le manque d’ironie, la bonhomie sérieuse , l’absence de toute complaisance à soi. Certes, j’en vois les défauts
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
2 mes matériels, urgents et contraignants. De là le sérieux avec lequel il accepte les conditions de l’initiation : et d’abord la
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
3 u mal, quand presque plus personne n’y croit avec sérieux , ni à l’enfer ? Quand personne ne déclare un Bien si haut qu’on se fa
4 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
4 lus nous, mais je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos idées, y croyez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas rép
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
5 uer les directeurs des Recherches d’avoir pris au sérieux le risque philosophique. Et je ne pense pas trahir leur tendance en i
6 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
6 iennent tous à la même question, qui est celle du sérieux dernier, de la prise au sérieux de la vérité. Du point de vue du séri
7 qui est celle du sérieux dernier, de la prise au sérieux de la vérité. Du point de vue du sérieux humain, l’éternité doit appa
8 prise au sérieux de la vérité. Du point de vue du sérieux humain, l’éternité doit apparaître comme une espèce d’ironie cruelle 
9 cruelle ; mais du point de vue de l’éternité, le sérieux humain apparaît affecté d’un humour désespéré. La dialectique de Kier
10 e de Kierkegaard consiste alors à déconsidérer le sérieux et le pathétique purement humains, en les poussant à la limite où se
11 tualisée dans l’acte de foi. Il n’y eut jamais de sérieux absolu39 que dans la vie et dans la mort du Christ, homme et Dieu, ca
12 a vie et de la mort du Christ, jette sur tous nos sérieux , poses et amusettes, une ironie, ou ce qui est pire, un soupçon d’ins
13 vide ? Et alors il n’y aurait nulle part de vrai sérieux  ? Peut-être aussi cet acte existe-t-il, peut-être que l’illic et tuc
14 nunc de la foi ? Mais alors il n’y a pas de vrai sérieux dans ma vie, tant qu’il n’y a pas eu cet acte de foi, ce renversement
15 nore en certitude combattante — et combattue. Le sérieux de l’ironie, l’ironie du sérieux, voilà les pôles d’une dialectique d
16 t combattue. Le sérieux de l’ironie, l’ironie du sérieux , voilà les pôles d’une dialectique dont le plus étrange, sans doute,
17 e démarche ? » Oui, cette question est gênante et sérieuse , et c’est pourquoi il fallait la poser. Et c’est aussi pourquoi je la
18 uons que nous ne devons prendre au sérieux que le sérieux , que la personne, tout le reste peut devenir l’objet de notre jeu. »
7 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
19 e rendre aux mots leur sens. Il n’y a que cela de sérieux dans la politique moderne. Et le Manifeste de Mounier peut y contribu
8 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
20 ugera toujours « hors de propos » d’envisager. Le sérieux même du christianisme.51 Alain dit quelque part n’avoir jamais connu
9 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
21 sauraient avoir lieu. (Ou tout au moins, pris au sérieux .) L’amour même est évacué. Il n’est plus que l’attrait des sexes agis