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’étonnant, dès lors, si les premières biographies
sérieuses
de Nicolas sont dues à la plume de disciples ou d’amis des réformateu
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’Israël et la nécessité d’une piété purifiée et «
sérieuse
». Au dernier acte, après que la Mort ait accompli son Jugement, les
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ement d’obscurantisme, ou simplement de manque de
sérieux
, si je persiste en mon projet de lui consacrer de nombreuses pages. L
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ugler sur le mal que l’on porte en soi, et sur le
sérieux
du mal en général. La condamnation trop facile du méchant qui est en
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es : elle finit par ne plus croire au bien, ni au
sérieux
, ni à la naïveté, cette insondable ruse des cœurs purs qui leur perme
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crit ce livre, c’est que je prends tout à fait au
sérieux
l’avertissement d’Isaïe (ch. 21, v. 12) : « Sentinelle, que dis-tu de