1 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
1 c une légèreté de bon aloi. Je ne m’excuse pas du sérieux peut-être pesant des considérations qui suivent. Dire que notre époqu
2 . Certaines réalités se rappellent à nous avec un sérieux décisif, et qui coupe court aux dernières pirouettes. Il y a un senti
2 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
3 t de la cité où s’écoule sa vie. Mais c’est là un sérieux subordonné, et le chrétien peut sans cesse le mettre en question. Il
3 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
4 lus nous, mais je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos idées, y croyez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas rép
4 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
5 les affiches électorales. La seule opposition sérieuse La violence de leurs écrits s’accroît, l’aigreur des polémiques s’
6 à ses récentes opinions ? Allons, ils ne sont pas sérieux . Un chrétien a le droit de faire cette observation simpliste, qui sou
7 font soient très méchants ; mais ils manquent de sérieux humain. (J’ai dit aussi qu’ils manquent d’humour.) Anonymat Ils
8 orce et du risque. Elle rit bien. Elle n’a pas ce sérieux engourdi des gens qui font une carrière ou qui s’apprêtent à faire fi