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rnal. On nous reçoit et l’on nous renvoie avec un
sérieux
méfiant et résigné, presque sans nous regarder. À la fin de l’après-m
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je sortais, vivement impressionné par le courage
sérieux
(sans nul défi) que suppose hic et nunc une telle prédication, un cha
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t « scientifique ». On n’imagine pas en France le
sérieux
et l’application qu’apportent les partisans du national-socialisme à
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t quelque chose. Ce n’est pas assez, ce n’est pas
sérieux
. L’adversaire n’est pas un vrai adversaire, comme à la guerre. Nous a
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tourmenté mais trop habile, serait-il un obstacle
sérieux
pour l’entreprise de glorification des forces humaines, purement huma
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On me dit que socialement, ils n’ont rien fait de
sérieux
, et que leur socialisme est une façade. Je réponds : non, c’est leur
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enne passible de prison : cela rendrait un peu de
sérieux
aux esprits libres » — j’écrivais cela, il y a deux ans. Je n’oserais
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r, devant Niemöller. On ne peut pas jouer avec le
sérieux
, c’est-à-dire qu’on ne peut pas l’imaginer d’avance, ni même le désir
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orce, malgré soi, et c’est cela justement qui est
sérieux
! Le témoignage rendu à Dieu quand Dieu le veut et que les hommes l’i
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s spirituelles » des libéraux ? Non, c’était plus
sérieux
que cela. Ils ont dit non parce que l’État prétendait modifier et lim
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es tous responsables de tout ; et que la question
sérieuse
n’est pas de savoir qui l’est le plus ou qui l’est le moins, mais com