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ement d’obscurantisme, ou simplement de manque de
sérieux
, si je persiste en mon projet de lui consacrer tout un livre. Le prem
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e ferment à tout raisonnement, à toute discussion
sérieuse
, à tout recours aux vérités fondamentales sur lesquelles s’édifia la
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ugler sur le mal que l’on porte en soi, et sur le
sérieux
du mal en général. La condamnation trop facile du méchant qui est en
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es : elle finit par ne plus croire au bien, ni au
sérieux
, ni à la naïveté, cette insondable ruse des cœurs purs qui leur perme
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cela doit vous amuser. Si vous le prenez trop au
sérieux
, vous les perdrez et vous perdrez. Comme le montre l’histoire suivant
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te une énorme ambition, si l’on prend la chose au
sérieux
. Dirai-je maintenant mon idéal et ma vision ? Mon horreur des program
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a pas d’avoir confiance ! Le malheur nous rend au
sérieux
. Il nous apprend à opposer au mal le bien, et non pas le demi-mal de