1 iculise sans espoir. Puisse la disparition de mon sérieux habituel vous faire sentir, par homéopathie, la gravité de ce qui vie

2 ls étaient à bout de ressources, et sans défenses sérieuses contre un débarquement. Notre presse s’est gardée d’insister sur les

3 ucoup plus vite qu’il y a cent ans. Voilà qui est sérieux , me dites-vous. Et voilà qui est utile, au surplus. Personne n’osant

4 siècles d’application des bons esprits. Voilà le sérieux nouveau, l’utilité urgente. Ces fées donnent la paix du cœur dans la

5 garée par sa foi dans la Science, que les savants sérieux ne partagent point. On parle de radars omniscients, et de rayons qui

6 Je crains que nous n’ayons plus la même notion du sérieux et de la gravité. Vous êtes encore préatomique. Ce n’est pas seulemen

7 amie, je souris. C’est ma manière nouvelle d’être sérieux . Voulez-vous que je pleure toute la journée, que je rugisse pendant l

8 e l’humanité ! — Je vois que vous n’êtes pas trop sérieux . Notez que je flatte beaucoup, dans ces répliques, mon interlocuteur

9 s pour m’amuser. Je pense que si vous êtes encore sérieuse et me reprochez ce ton « badin » — merci — c’est que vous n’avez pas

10 terme. » Vous trouvez que c’est le moment d’être sérieux  ?

11 iècle trois fois maudit. Je ne vois plus d’espoir sérieux nulle part. La faillite morale est universelle, chez les individus co

12 èreté l’inquiète, ne serait-elle pas cynique ? Le sérieux l’endort vite. Mais il respecte la technique, aveuglément. Et qui sau

13 inistère de la guerre, il nous paraît dépourvu de sérieux . Or le gouvernement mondial devrait se passer de ces deux ministères,

14 itarisme en bâtons et une grêle de coups. Je suis sérieux . Le socialisme, non pas en soi, mais construit dans le cadre national