1 c une légèreté de bon aloi. Je ne m’excuse pas du sérieux peut-être pesant des considérations qui suivent. Dire que notre époqu

2 . Certaines réalités se rappellent à nous avec un sérieux décisif, et qui coupe court aux dernières pirouettes. Il y a un senti

3 t de la cité où s’écoule sa vie. Mais c’est là un sérieux subordonné, et le chrétien peut sans cesse le mettre en question. Il

4 plus nous mais je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos idées, y croyez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas rép

5 les affiches électorales. La seule opposition sérieuse La violence de leurs écrits s’accroît, l’aigreur des polémiques s’

6 à ses récentes opinions ? Allons, ils ne sont pas sérieux . Un chrétien a le droit de faire cette observation simpliste, qui sou

7 font soient très méchants ; mais ils manquent de sérieux humain. (J’ai dit aussi qu’ils manquent d’humour.) Anonymat Ils

8 orce et du risque. Elle rit bien. Elle n’a pas ce sérieux engourdi des gens qui font une carrière ou qui s’apprêtent à faire fi

9 conçue et pratiquée de nos jours, est une menace sérieuse pour l’intégrité de l’homme, son intelligence, son honneur et ses fac

10 là, ce sont ses véritables adversaires, les seuls sérieux , et il le sait ! Si Niemöller est dans un camp de concentration, pris

11 itaire. Déjà, beaucoup d’entre nous ont repris au sérieux la théologie réformée. Il nous reste à prendre au sérieux la doctrine