1
langues dont on vient de parler62, nous avons de
sérieuses
raisons de penser qu’alors pour la première fois les hommes se disper
2
ités. Nous voici donc ramenés à la seule réalité
sérieuse
, celle des États et de leurs luttes fratricides sans « raison », sans
3
tiriste italien Trajano Boccalini. Des historiens
sérieux
tiennent aujourd’hui que l’ordre des rose-croix n’a jamais existé, en
4
ls invoquant le nom de l’Europe, pas un seul plan
sérieux
d’union continentale n’est sorti de la Révolution, du moins en France
5
si placée dans le monde qu’elle n’a aucun intérêt
sérieux
incompatible avec les grands intérêts européens, avec lesquels elle a
6
essieurs, tous les hommes positifs, tous les gens
sérieux
, tous les grands politiques d’alors se fussent écriés : — Oh ! le son
7
lus vrai, il serait vain d’espérer aucune réponse
sérieuse
: les méthodes ne sont pas comparables ici et là, et les fins d’ordre
8
demander de la protéger contre le danger le plus
sérieux
qui la menace, mais à un bouleversement intérieur, à une explosion ém
9
forte opposition, une résistance nourrie, de très
sérieux
obstacles.275 Ces obstacles nationalistes, le poète autrichien Hugo
10
rateurs de l’apparence, sur le grand arrière-fond
sérieux
des choses européennes, je vois les quelques rares individus qui comp
11
es à l’avoir fait. 5° On ne voit pas de candidats
sérieux
à la Relève de notre civilisation devenue mondiale. On ne voit pas qu
12
s de l’Europe ne constitue, pratiquement, le plus
sérieux
obstacle au développement et à l’efficacité de toutes institutions po
13
e nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense
sérieuse
de son indépendance. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les pr