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e devient possible, vaut la peine d’être prise au
sérieux
, puisqu’elle apporte sans relâche l’Imprévu. L’aventure est unique, c
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opéens, et la plupart de nos activités courantes,
sérieuses
ou non, dérivent de la notion de l’homme introduite par le christiani
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s une seule que l’on puisse étudier d’une manière
sérieuse
ou intelligible dans le champ limité par les frontières d’une seule d
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é. Troisième raison : On ne voit pas de candidats
sérieux
à la relève d’une civilisation devenue mondiale. Nous connaissons les
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ion. Aux yeux du monde, il n’y a qu’un seul péril
sérieux
: le péril blanc. La civilisation européenne, devenue mondiale, n’est