1 eux qui vont à la recherche des âmes. Aussitôt il téléphone à ceux du paradis : « Qui va à la chasse perd sa place, nous nous com

2 leur, contre une bourgeoisie que la jouissance du téléphone et de l’ascenseur console de sa déchéance morale, déchéance jalousée

3 en avoir le cœur net, a pris des instructions par téléphone au chef-lieu. Son supérieur lui a confirmé qu’un manuscrit s’affranch

4 , chose nouvelle au goût de souvenir, que trop de téléphones , à la ville, de tout à l’heure, d’heures de bureau, d’impitoyables re

5 en avoir le cœur net, a pris des instructions par téléphone au chef-lieu. Son supérieur lui a confirmé qu’un manuscrit s’affranch

6 , chose nouvelle au goût du souvenir, que trop de téléphones à la ville, d’heures de bureau, d’impitoyables rendez-vous, d’indiffé

7 en avoir le cœur net, a pris des instructions par téléphone au chef-lieu. Son supérieur lui a confirmé qu’un manuscrit s’affranch

8 ouru. Pourtant, ils ont eu peur, ici. Une dame me téléphone , encore anxieuse : « Dès que le discours a été terminé, je me suis pr

9 nier, au milieu de l’après-midi, je fus appelé au téléphone par un ami. Était-ce la guerre qu’on attendait d’une heure à l’autre 

10 catastrophe réglerait tout. Sur quoi, le coup de téléphone que j’ai dit, et toute la vie qui se reprend à vivre, les délais à co

11 r le premier sur le second. Pendant une grève des téléphones , en 1947, les opératrices de la petite ville de White Plains reçurent

12 r le premier sur le second. Pendant une grève des téléphones , en 1947, les opératrices de la petite ville de White Plains reçurent

13 e a produit évidemment beaucoup d’automobiles, de téléphones et de frigidaires, mais il a aussi produit beaucoup de canons et de m

14 e a produit évidemment beaucoup d’automobiles, de téléphones et de frigidaires, mais il a aussi produit beaucoup de canons et de m

15 n lit et d’où, sans se lever, l’on atteindrait le téléphone , la poignée du frigidaire, les boutons du fourneau électrique, ceux d

16 ec précision. Forcer la porte, couper les fils de téléphone , prendre le type, ramasser les papiers… La légation allemande, nous d

17 il se passait quelque chose, je serais alerté par téléphone . Peu dormi, et levé à six heures. Avant d’entrer à mon bureau, près d

18 a donc sans histoires. Vers la fin de la matinée, téléphone de M. Oui, il y aura des histoires, paraît-il… Mais rien de nouveau j

19 deux minutes. Je me prépare à sortir. Sonnerie du téléphone . On va me parler de l’E.-M. du Général. C’est bien vous qui avez écri

20 ents d’un énorme désastre, incroyable et vrai. Le téléphone m’apporte, heure par heure, les nouvelles de l’action entreprise pour

21 ns sont nécessaires, car je sens qu’on écoute mes téléphones .) Le risque individuel prend sa place normale dans le risque collecti

22 l. Tout est détail, facile et plutôt fastidieux : téléphones , lettres, coups de sonnette, vérifications, petits retards, noms à re

23 oitures circulent à gauche, et au lieu de dire au téléphone allô, on dit : olla / Je vais regarder, demain matin, si le soleil ne

24 papier blanc. Des heures ont passé, immobiles. Le téléphone a sonné plusieurs fois, près de mon lit, sans que je bouge. J’ai lent

25 fallait rentrer. J’ouvre ma porte et j’entends le téléphone . C’est un ami qui va quitter l’Office of War Information, étant appel

26 alle sans bruit dans les bureaux presque déserts. Téléphone de Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui se passe… « N’ête

27 en lit, et d’où sans se lever l’on atteindrait le téléphone , la poignée du frigidaire, les boutons du fourneau électrique, ceux d

28 disparu de New York depuis plusieurs semaines, je téléphone chez elle un samedi soir. — Que devenez-vous ? — C’est bien par chanc

29 e me suis abonné au « service de secrétaires » du téléphone  : il répond de ma part en mon absence, prend les messages et me les c

30 able sans retirer mon manteau, et je décroche mon téléphone . — Messages pour moi ? La voix d’une secrétaire anonyme répond (trop

31 e. Quelques semaines après mes examens finals, un téléphone de Paris m’offrait un job dans une société d’imprimerie et de publica

32 leur, contre une bourgeoisie que la jouissance du téléphone et de l’ascenseur console de sa déchéance morale, déchéance jalousée

33 cidentelle à Santa Fe, Nouveau-Mexique ; enfin un téléphone qui m’apprit que mon job était supprimé. La société qui m’employait d

34 en avoir le cœur net, a pris des instructions par téléphone au chef-lieu. Son supérieur lui a confirmé qu’un manuscrit s’affranch

35 , chose nouvelle au goût de souvenir, que trop de téléphones , à la ville, de tout à l’heure, d’heures de bureau, d’impitoyables re

36 ouru. Pourtant, ils ont eu peur, ici. Une dame me téléphone , encore anxieuse : « Dès que le discours a été terminé, je me suis pr

37 re, l’ordre de mobilisation peut m’être donné par téléphone (avant l’affichage). Mais ce qui me vient par téléphone, c’est la dem

38 one (avant l’affichage). Mais ce qui me vient par téléphone , c’est la demande d’écrire une pièce pour l’Exposition nationale de l

39 30 septembre, à dix-sept heures, on m’appelle au téléphone . Ce n’est pas la guerre, c’est « la paix pour notre génération », a d

40 ec précision. Forcer la porte, couper les fils de téléphone , prendre le type, ramasser les papiers… La légation allemande, nous d

41 il se passait quelque chose, je serais alerté par téléphone . Peu dormi, et levé à six heures. Avant d’entrer à mon bureau, près d

42 a donc sans histoires. Vers la fin de la matinée, téléphone de M… Oui, il y aura des histoires…, paraît-il. Mais rien de nouveau

43 deux minutes. Je me prépare à sortir. Sonnerie du téléphone . On va me parler de l’E.-M. du Général. — C’est bien vous qui avez éc

44 ents d’un énorme désastre, incroyable et vrai. Le téléphone m’apporte, heure par heure, les nouvelles de l’action entreprise pour

45 ns sont nécessaires, car je sens qu’on écoute mes téléphones  79.) Le risque individuel prend sa place normale dans le risque colle

46 l. Tout est détail, facile et plutôt fastidieux : téléphones , lettres, coups de sonnette, vérifications, petits retards, noms à re

47 elques jours plus tard : « Vous êtes imprudent au téléphone . Par bonheur, c’est moi qui suis chargé des rapports d’écoute. J’effa

48 oitures circulent à gauche, et au lieu de dire au téléphone  : Allô, on dit : Olla ! Il y a là quelque chose d’important. Que le N

49 s comptes inquiétants, reculé devant une série de téléphones plus urgents l’un que l’autre. Puis rêvé en regardant la pluie tomber

50 ère, mon espace humain, mes relations, à coups de téléphone et de rendez-vous. Un monde de signes, de croisements, de hasards, de

51 papier blanc. Des heures ont passé, immobiles. Le téléphone a sonné plusieurs fois, près de mon lit, sans que je bouge. J’ai lent

52 1942 Quand je me suis endormi au matin, si le téléphone appelle un peu plus tard et que je fais effort pour reprendre mes esp

53 l’escalier quatre à quatre, j’ouvre ma porte : le téléphone sonnait. C’est un ami qui vient de quitter l’Office of War Informatio

54 alle sans bruit dans les bureaux presque déserts. Téléphone d’Henri Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui se passe… « 

55 en lit, et d’où sans se lever l’on atteindrait le téléphone , la poignée du frigidaire, les boutons du fourneau électrique, ceux d

56 disparu de New York depuis plusieurs semaines, je téléphone chez elle un samedi soir. « Que devenez-vous ? C’est bien par chance

57 e me suis abonné au « service de secrétaires » du téléphone  : il répond de ma part en mon absence, prend les messages et me les c

58 able sans retirer mon manteau, et je décroche mon téléphone . — Messages pour moi ? La voix d’une secrétaire anonyme répond (trop

59 longtemps, j’attends assis devant ma table que le téléphone me donne le signal du départ. À la fin de la matinée, j’aurai quitté

60 font trembler les vitres et légèrement tinter le téléphone posé devant moi sur la table. J’attends. Je n’ai pas souvenir qu’il f

61 papier blanc. Des heures ont passé, immobiles. Le téléphone a sonné plusieurs fois, près de mon lit, sans que je bouge. J’ai lent

62 fallait rentrer. J’ouvre ma porte et j’entends le téléphone . C’est un ami qui va quitter l’Office of War Information, étant appel

63 alle sans bruit dans les bureaux presque déserts. Téléphone de Bernstein, il voudrait bien savoir un peu ce qui se passe… « N’ête

64 re. Sur quoi la petite fille de 6 ans décroche le téléphone , s’installe sur le divan, et bavarde avec une amie. Une fille de 12 à

65 avec une amie. Une fille de 12 à 15 ans occupe le téléphone deux heures par jour. À 16 ans, elle prie ses parents de se retirer d

66 ers, qui exigent leur baignoire « encastrée », le téléphone , la radio et un jardin. Sur cet ensemble harmonieux et divers, illust

67 teur : « Les journalistes, dit-il, m’accablent de téléphones et dérangent mon travail pour me demander mon opinion sur cette affai

68 eut sa paix, et me laisse le soin de répondre aux téléphones . OK ! disent les Américains. Pendant qu’il administre, amusons-nous.

69 epuis peu mes Lettres sur la bombe atomique , le téléphone retentit. J’entendis une voix qui me dit : « Allô ! Ici Einstein ». J

70 F. Ramuz, les dernières fois où je l’appelais au téléphone en lui disant : « Comment allez-vous ? » — « Très mal merci ! » disai

71 qui rentre d’Amérique, et je viens d’apprendre au téléphone que « cela ne va plus » pour un appartement promis. Il dit encore (ma

72 us facilement accessibles aux visites et coups de téléphone . La composition du Conseil n’est pas moins originale que sa fonction.

73 de tramways, les installations d’éclairage et de téléphone , les routes bétonnées, les wagons en aluminium, les distributeurs aut

74 icoles et ménagères, l’électricité domestique, le téléphone et la radio, n’ont fait leur entrée dans nos vies que pendant le prem

75 ( Lettres sur la bombe atomique .) Erreur sur le téléphone . L’esclavage du téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le tél

76 mique .) Erreur sur le téléphone. L’esclavage du téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le téléphone, simple appareil, n

77 téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le téléphone , simple appareil, n’a jamais rien fait par lui-même, et c’est toujour

78 icoles et ménagères, l’électricité domestique, le téléphone et la radio, n’ont fait leur entrée dans nos vies que pendant le prem

79 c’est un contrôle de l’homme78. » Erreur sur le téléphone . L’esclavage du téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le tél

80 mme78. » Erreur sur le téléphone. L’esclavage du téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le téléphone, simple appareil, n

81 téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le téléphone , simple appareil, n’a jamais rien fait par lui-même, et c’est toujour

82 , au contraire, dans ma campagne, pour obtenir le téléphone  ! Vous me parlez de l’esclavage du téléphone ? Mais a-t-on jamais vu

83 r le téléphone ! Vous me parlez de l’esclavage du téléphone  ? Mais a-t-on jamais vu qu’un appareil, prenant l’initiative, appelle

84 dez à répondre. Vous n’êtes donc pas l’esclave du téléphone , mais de votre seule curiosité. Le règne des machines, à vous entendr

85 ons que j’habitais à la campagne, pour obtenir le téléphone  ! Quand on répète que les machines vont mettre l’homme en esclavage,

86 et tiré de notre vie quotidienne : l’esclavage du téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le téléphone, simple appareil, n

87 téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le téléphone , simple appareil, n’a jamais rien fait par lui-même, et c’est toujour

88 rez pas manquer. Vous n’êtes donc pas esclaves du téléphone , mais de votre seule curiosité. Qu’il s’agisse de la bombe effrayante

89 ité. Qu’il s’agisse de la bombe effrayante, ou du téléphone agaçant, vous voyez que ce sont nos passions, nos manies, que c’est d

90 qui rentre d’Amérique, et je viens d’apprendre au téléphone que « cela ne va plus » pour un appartement promis. Il dit encore (ma

91 e qui inciterait un général à décrocher le fameux téléphone rouge déclenchant la guerre atomique ? Saint Chrysostome écrivait au

92 texte quelconque. Retinger, laissé seul devant le téléphone , a compris. Il décroche l’appareil et demande à parler au Général. Il

93 ctaculaires (la vapeur, le gaz, l’électricité, le téléphone ) rendirent la science vraiment populaire, certains savants et philoso

94 forcez la porte, vous coupez d’abord les fils de téléphone , puis vous arrêtez les agents et ramassez leurs papiers. Compris. Tel

95 il se passait quelque chose, je serais alerté par téléphone . Peu dormi, et levé à six heures. Avant d’entrer à mon bureau, près d

96 a donc sans histoires. Vers la fin de la matinée, téléphone de mon beau-frère, M. P., qui est à la Censure. Oui, il y aura des hi

97 à six heures. Je me prépare à sortir. Sonnerie du téléphone . On va me parler de l’E.-M. du Général. — Ici colonel Masson. C’est b

98 ents d’un énorme désastre, incroyable et vrai. Le téléphone m’apporte, heure par heure, les nouvelles de l’action entreprise pour

99 ns sont nécessaires, car je sens qu’on écoute mes téléphones .)40 Le risque individuel prend sa place normale dans le risque collec

100 elques jours plus tard : « Vous êtes imprudent au téléphone . Par bonheur, c’est moi qui suis chargé des rapports d’écoute. J’effa

101 , au contraire, dans ma campagne, pour obtenir le téléphone  ! Vous me parlez de l’esclavage du téléphone ? Mais a-t-on jamais vu

102 r le téléphone ! Vous me parlez de l’esclavage du téléphone  ? Mais a-t-on jamais vu qu’un appareil, prenant l’initiative, appelle

103 dez à répondre. Vous n’êtes donc pas l’esclave du téléphone , mais de votre seule curiosité. Le règne des machines, à vous entendr

104 évélateur, quitte à corriger le sort par quelques téléphones et un carnet d’adresses d’amis anciens. (Mais tout bouge ici, où sero

105 Amérique, il lui arriva un jour de décrocher son téléphone , et d’entendre à l’autre bout du fil une voix annoncer : “Ici Albert

106 de tramways, les installations d’éclairage et de téléphone , les routes bétonnées, les wagons en aluminium, les distributeurs aut

107 reprise d’un entretien interrompu par un coup de téléphone . Il dictait à sa femme les lettres moins intimes. Germaine et Jean, d

108 t nous écrit : Au sujet de la brève interview par téléphone que vous avez bien voulu publier dans votre numéro du 24 mars, permet

109 un autre exemple, moins tragique : l’esclavage du téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le téléphone, simple appareil, n

110 téléphone est un des clichés de l’époque. Mais le téléphone , simple appareil, n’a jamais rien fait par lui-même. C’est toujours q

111 rez pas manquer. Vous n’êtes donc pas esclaves du téléphone , mais de votre seule curiosité. Qu’il s’agisse de la bombe effrayante

112 ité. Qu’il s’agisse de la bombe effrayante, ou du téléphone agaçant, ce sont nos passions, nos manies, c’est l’homme lui-même qui

113 938, au milieu de l’après-midi, je suis appelé au téléphone par un ami qui est à la radio suisse. Est-ce la guerre, qu’on attend

114 catastrophe réglerait tout. Sur quoi, le coup de téléphone que j’ai dit, toute la vie qui se reprend à vivre, les délais à couri

115 œurs que j’ai prévus. Quelquefois il m’appelle au téléphone  : « Au 5e vers, 3e reprise du Choral I, il manque une syllabe. — Ah ?

116 e atomique , à la suite de Hiroshima. Un soir, le téléphone sonne. J’entends : « Ici, Einstein. » C’est un peu comme si vous ente

117 n fer tordu, en pierraille lépreuse. » Un coup de téléphone du chef des services de renseignements de l’armée suisse m’apprit qu’

118 ns l’échange si difficilement combiné de coups de téléphone , de lettres et de photos dont il faut se contenter aujourd’hui, le pl

119 ys a besoin de communications, routes, autobus et téléphone , et de stations d’épuration. Les chemins de fer et l’autoroute y font

120 articulier est abonné au gaz, à l’électricité, au téléphone .) Si maintenant je transpose en termes politiques mon équation : Eur

121 ys a besoin de communications, routes, autobus et téléphone , et de stations d’épuration. Les chemins de fer et l’autoroute y font

122 es curieuses qui me sont arrivées (1974)m Deux téléphones Octobre 1930 Je viens de passer ma licence. On m’offre un poste de pr

123 il, je vois ma mère à la fenêtre : « Dépêche-toi, téléphone de Paris ! » On m’offrait un job de directeur littéraire d’une maison

124 l’escalier quatre à quatre, j’ouvre ma porte : le téléphone sonnait. C’est un ami suisse qui vient de quitter l’Office of War Inf

125 et m’enferme sans plus bouger ni plus répondre au téléphone entre mon fauteuil et ma table, devant un bloc de papier blanc. Penda

126 ité des services, la densité des automobiles, des téléphones , des hôpitaux, des écoles, et des brevets d’invention. Il n’est en so

127 l a fondée. Trois jours plus tard, Otto Molden me téléphone de Vienne. Mon absence, en tant que seul orateur français est simplem

128 urables, comme le revenu par tête, la densité des téléphones , des autos et des réfrigérateurs, mais aussi quant à la qualité de la

129 venais de publier en anglais1, m’avait invité par téléphone à venir le voir le soir même « puisque nous sommes voisins, comme je

130 rier 1976)r Invité au matin du 13 janvier, par téléphone , à participer le 14 au soir à une émission de plus de trois heures su

131 . Sur quoi, le 28 septembre vers 17 h, un coup de téléphone m’annonce Munich30 : « C’est la paix ! », me dit-on. (On le croyait c

132 l’autonomie énergétique et marche mieux que votre téléphone . Dans des pays plus nuageux d’Europe et d’Amérique du Nord, des centa

133 té sacrifiés sans douleur logement, enseignement, téléphone , urbanisme, recherche scientifique, culture artistique, santé publiqu

134 ope, et la plus large proportion non seulement de téléphones et d’autos, mais aussi de théâtres, d’hôpitaux, de lecteurs de livres

135 seau de télécommunications. Démocratie directe et téléphone sont l’avers et l’envers d’une même médaille.156 Idylle ou pas, les

136 e dans les fauteuils de l’État, qu’il utilise les téléphones de l’État, pour qu’il parle aussitôt la langue de l’État. Celle de la

137 é sacrifiés sans douleur, logement, enseignement, téléphone , urbanisme, recherche scientifique, arts et santé publique. Je veux b

138 s leurs fauteuils et donner des ordres dans leurs téléphones … En vérité, on n’a jamais vu une révolution consistant à prendre le p

139 a vitalité culturelle en passant par le nombre de téléphones , d’autos, de médecins pour 1000 habitants et de prix Nobel par millio

140 ’environnement ou d’énergie) comme on s’abonne au téléphone , aux services de voirie, ou d’électricité, ou de cinéma et de tournée

141 pour fabriquer la quantité d’autos, d’avions, de téléphones et de matières plastiques nécessaires pour un tel « développement ».

142 s les uns des autres, c’en est fait de mes nuits. Téléphones de Consuelo ou de Tonio à n’importe quelle heure de la nuit. Quelque

143 ? En date du 27 mars, je lis dans mon journal : «  Téléphone de St Ex à propos de nos démarches pour qu’il parte en avion. Il me p

144 938, au milieu de l’après-midi, je suis appelé au téléphone par un ami qui est à la Radio suisse. Est-ce la guerre, qu’on attend

145 catastrophe réglerait tout. Sur quoi, le coup de téléphone que j’ai dit, toute la vie qui se reprend à vivre, les délais à couri

146 rs que j’ai prévus. Quelques fois il m’appelle au téléphone  : « Au 5e vers de la troisième reprise du choral I, il manque une syl

147 ce siècle par l’électricité, l’auto, l’avion, le téléphone et la télévision, nous prépare certes à penser ou à imaginer selon de

148 ce siècle par l’électricité, l’auto, l’avion, le téléphone et la Radio-Télévision, nous prépare certes à penser ou imaginer selo

149 i, de même que l’électricité, l’auto, l’avion, le téléphone et la télévision influencent la vie quotidienne des Occidentaux, l’in

150 papier blanc. Des heures ont passé, immobiles. Le téléphone a sonné plusieurs fois, près de mon lit, sans que je bouge. J’ai lent

151 . 5 mars Quand je me suis endormi au matin, si le téléphone appelle un peu plus tard et que je fais effort pour reprendre mes esp

152 emparerait de très peu de choses : de bureaux, de téléphones , d’uniformes, d’armes peut-être — cela n’est pas sûr, les armes de la

153 lly, chez Budry. Il estimait que j’abusais de son téléphone . J’attendais un appel de Paris, dont dépendait ma vie ! (geste de la

154 is immobile dans ma chambre, depuis une heure. Le téléphone sonne enfin dans la pièce à côté. Je me précipite. Mais l’appareil es

155  ! Il aboutit dans une valise ! Fermée à clé ! Le téléphone sonne toujours, là-dedans ! Je prends la valise, je la secoue, cela d

156 er les modalités de l’action. Le lendemain matin, téléphone à Villey, qui m’apporte son texte, dont voici le passage essentiel :

157 es premiers pour le revenu par tête, le nombre de téléphones , de salles de bains, d’hôpitaux, d’écoles. Le seul désavantage : ils