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s de son art à ces fins. Il y faut bien autant de
talent
qu’en exige notre littérature, et quelques vertus d’homme et de « pen
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et que les moindres œuvres, traduisant même sans
talent
la vocation authentique d’un homme, prendront cette valeur humaine qu
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ive. Mais on n’aime pas que « l’afflux des jeunes
talents
» soit si visiblement déterminé par les clauses d’un contrat commerci
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sion grande du but commun. Bien écrit, mal écrit,
talent
ou pas talent, original, influencé, etc., tout cela n’importe qu’à pa
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but commun. Bien écrit, mal écrit, talent ou pas
talent
, original, influencé, etc., tout cela n’importe qu’à partir des répon
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st « important » ou « intéressant » ou « plein de
talent
». (La discontinuité de notre chronique des Lettres ne traduit d’aill