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r, que Zeus lui-même s’en éprend. Métamorphosé en
taureau
, il l’enlève aux rives de l’Asie pour la conduire en Crète, où elle d
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ue au dieu, transforma sa personne, se changea en
taureau
; non pas en taureau comme ceux qui sont nourris dans les étables, ni
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a sa personne, se changea en taureau ; non pas en
taureau
comme ceux qui sont nourris dans les étables, ni comme ceux qui tiran
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qui lui tombait, abondante, de la bouche ; et au
taureau
elle donna un baiser. Lui, poussa un tendre mugissement ; on aurait c
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agnes, compagnes de mon âge, asseyons-nous sur ce
taureau
, pour notre divertissement ; à coup sûr, il nous recevra toutes sur s
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aimable, sans aucune ressemblance avec les autres
taureaux
; un esprit intelligent l’anime, comme un humain ; il ne lui manque q
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parole. » Elle dit, et elle s’assit sur le dos du
taureau
, souriante ; et les autres jeunes filles allaient en faire autant ; m
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ras ; mais elles ne pouvaient pas l’atteindre. Le
taureau
parvint au rivage et poursuivit sa course, comme un dauphin, marchant
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t retentir le chant nuptial. Assise sur le dos du
taureau
Zeus, Europé, d’une main, serrait la grande corne de la bête ; de l’a
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elle fit entendre ces mots : « Où m’emportes-tu,
taureau
divin ? Qui es-tu ? Comment peux-tu parcourir des chemins dangereux a
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les navires prompts à fendre les flots ; mais les
taureaux
ont peur de la voie marine. Quelle boisson capable de te plaire, quel
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auphins marins ne circulent pas sur terre, ni les
taureaux
sur la mer ; toi, tu bondis sans peur et sur terre et sur mer, et tes
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ai quitté la demeure de mon père, et, suivant ce
taureau
, accomplis une étrange navigation, errante et solitaire. Mais toi, so
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e je suis ces humides chemins. » Elle dit ; et le
taureau
aux belles cornes lui répondit : « Rassure-toi, jeune fille ; ne crai
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ersonne, bien que, de près, j’aie l’air d’être un
taureau
; il est en ma puissance de paraître ce que je veux. C’est mon amour
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urir une telle étendue marine, sous l’aspect d’un
taureau
. Mais la Crète te recevra bientôt ; elle m’a nourri moi-même ; c’est
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y voit un symbole lunaire, tandis que Zeus et le
Taureau
seraient tous les deux solaires par excellence. Dans les deux cas, E
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ode d’Horace À Galatée Ainsi Europe confia au
taureau
séducteur son flanc de neige, Europe, devant les monstres pullulant s
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quelqu’un, maintenant, le livrait à ma colère, ce
taureau
qui me déshonore, je voudrais, de toutes mes forces, déchirer, briser
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lères et de bouillantes querelles, quand l’odieux
taureau
viendra te donner ses cornes à déchirer. Tu es, sans le savoir, la fe
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es Crétois dans un navire dont l’insigne était un
taureau
.6 Cependant, Isidore de Séville, au viie siècle, se borne à résume
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e le fils de Dieu qui pour sauver l’âme se mua en
taureau
, c’est-à-dire qu’il prit une forme corporelle en prenant l’humaine ch
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vée en un navire, portant en proue la figure d’un
taureau
. Et aucuns reconnaissent la nef, portant l’effigie de Jupin tutélaire
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a nef, portant l’effigie de Jupin tutélaire et du
taureau
. Palephatus dit qu’un Candiot nommé Taurus enleva d’Italie ou région
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de guerre, qui portait entre autres enseignes un
taureau
. Quelques-uns disent qu’elle fut ainsi appelée, à cause de sa beauté
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auté par la ressemblance de cette fille ravie. Le
taureau
, certes, par lequel ils veulent qu’Europe fût portée, ne représente p
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Europe dont un dieu n’écoute pas la plainte Le
taureau
blanc l’emporte. Europe, sans espoir, Crie, et baissant les yeux, s
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, seul ardent, sur la glauque étendue. Le divin
Taureau
dit : — Ô Vierge, ne crains rien. Viens ! Voici l’île sainte aux an