1 tre l’État et l’argent à leur place d’instruments techniques . Schéma : un État souverain dans l’aire délimitée de sa capacité ; ad

2 ctement définis par le gouvernement, et de nature technique  ; répartissant ses bénéfices sous forme de minimum vital distribué pa

3 mie rigoureuse entre ce qui relève de l’exécution technique et ce qui relève de l’opinion et de la création, toujours personnelle

4 t pas. Il n’y a de visible, dans un roman, que sa technique , son métier, sa réussite ou ses défauts. Mais ce qui agira sur le lec

5 valent rien en elles-mêmes, hors de leur qualité technique . Elles sont un service ; elles ne sont pas au service d’une cause ou

6 de là ne se posent plus que des problèmes d’ordre technique . Nous autres écrivains de la Réforme, nous aimerions nous comparer au

7 cette légende dramatique. Outre ces dispositions techniques , vous en avez certainement pris pour faire du texte une suite s’adapt

8 puis lors. Dès les premiers instants, le paradoxe technique de ce drame m’était clairement apparu : il s’agissait de peupler une

9 instruction, de vendre au poids des connaissances techniques , grâce auxquelles l’étudiant se verrait en mesure de gagner maigremen

10 utaire. Elle présente par ailleurs un gros défaut technique  : il est très difficile de marier un bon texte à des éléments spectac

11 indifférence à l’égard des fameuses « nécessités techniques  », superstition des experts d’hier et d’avant-hier. Ils ont pensé, et

12 ier. Ils ont pensé, et prouvé par le fait, que la Technique ne saurait inspirer une politique, mais qu’elle peut au contraire ser

13 ’orienter sa marche ; le reste, le fonctionnement technique de la machine, étant l’affaire des fonctionnaires — leur nom l’indiqu