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entier, il a bravement affirmé son unité. Car le
temps
n’est plus, où les jeunes gens se faisaient, avec sérieux, des âmes e
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-être ne lui a-t-il manqué pour le devenir que le
temps
de méditer : il a quitté le collège jésuite pour la tranchée, puis «
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étreinte du fauve merveilleux ». Il n’a pas eu le
temps
de se ressaisir, le sport prolongeant pour lui, d’une façon obsédante
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tant d’autres désirs contradictoires ; au gré du
temps
, d’un sourire, d’un sommeil, tant de bonheurs ou de dégoûts étranges
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lac, certaines atmosphères délavées et sourdes. «
Temps
couvert, calme, légères précipitations » annonce le bulletin. Tiens,
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sse en cinq ans de Baudelaire à Rubens. Il fut un
temps
où l’on put craindre que Charles Humbert ne devînt le chef d’une écol
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ez certaines choses par votre souffrance… Mais le
temps
approche où vous n’aurez plus besoin de souffrir pour comprendre. Le
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femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le
temps
de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne sûmes pas dissimule
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é magnifique et angoissante. Il mêle tout dans le
temps
et l’espace. Cent années et tous les visages aimés revivent dans cett
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mme un enfant sage que le monde lui donne, en son
temps
, sa petite part. On lui a expliqué qu’il fallait la mériter et tâcher
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t assez longuement d’un des poètes auxquels notre
temps
doit vouer l’attention la plus grave — car il vécut dans ces marches
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Hymnes une sérénité presque effrayante. Vient le
temps
où le sens de son monologue entre terre et ciel lui échappe. Il jette
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ur, tout justement, nous fait comprendre, dans le
temps
même qu’il nous entr’ouvre le ciel, qu’il est bon qu’il y ait le mond
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isonnier de la nuit (avril 1930)o I Depuis le
temps
qu’on tire du canon à son perdu depuis le temps que sonnent les marée
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e temps qu’on tire du canon à son perdu depuis le
temps
que sonnent les marées à flots perdus sous la coupole errante des pri
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i fait s’envoler les ballons ?) 2. En vérité, ce
temps
est peu propice au mépris et à l’adoration : où que se portent nos re