1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 jamais le rôle unique et décisif qu’il jouait au temps du Saint-Empire. Mais alors l’aspect symbolique de la mission confédé
2 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
2 s sur la Russie soviétique ou stalinienne, il est temps que le public français commence à se renseigner sur la question hitlé
3 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
3 plus authentiques essais de construction de notre temps . Politique de la personne , Penser avec les mains , le Journal d’u
4 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
4 it nombre, ou d’une caste, alors que dans le même temps l’instruction publique mettait tout homme en état de lire des livres,
5 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
5 nis de Rougemont, me dit pourquoi il a attendu ce temps pour le publier. C’est un journal où j’ai noté pour moi-même mes impr
6 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
6 fuse. l. « Qui est Hitler ? » L’Hebdomadaire du temps présent, Paris, n° 67, 24 février 1939, p. 5.
7 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
7 achant tout sans expérience, et qui, vainqueur du temps , verrait d’un seul regard nos origines et nos fins dernières, d’où no
8 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
8 ite par un des musiciens les plus célèbres de son temps — suisse, ne l’oublions pas — et par un des écrivains les plus intell
9 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
9 e l’amour et la guerre. Le lansquenet de l’ancien temps avait le goût de la guerre pour elle-même ; peu lui importaient les r
10 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
10 notre histoire, par le gros bout de la lunette du temps , la voilà qui s’agrandissait aux proportions de l’Europe d’aujourd’hu
11 s pas perdu courage. La foi de Nicolas domine les temps . Elle vit encore au cœur des Suisses. Elle est encore le grand symbol
11 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
12 trois mois, tout fut terminé. Mois heureux, où le temps s’écoulait au rythme même de l’œuvre en marche. L’accord du musicien
12 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
13 ’Histoire, la seule nouveauté absolue de tous les temps  : l’incarnation de Dieu dans l’homme fondant une société absolument n
14 tres, car ce qu’elles attendent, c’est la fin des temps . Et cependant, ces communautés étranges constituent bel et bien les g
15 ition pour éviter chez nous, pendant qu’il en est temps , des déviations qui feraient le jeu de l’ennemi. Connaître la doctrin
16 néfice exclusif d’une telle clairvoyance. Il est temps de tirer, en deux mots, la conclusion de cette série de mises au poin
13 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
17 C’est-à-dire trop haut et trop bas. Il est grand temps d’abandonner cette attitude que beaucoup d’étrangers, hélas, ont pu c
14 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
18 depuis 1933, la face de l’Europe a changé. Il est temps de nous en rendre compte. Autrefois, et naguère encore, il suffisait
15 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
19 facement volontaire des plus grands Suisses de ce temps -là. Mais aujourd’hui, l’égalitarisme hérité du xixe siècle n’est plu
16 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
20 chose qui irait de soi, qui aurait existé de tout temps , sans commencement ni fin imaginables, qui nous serait due sans discu
17 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
21 re « mission spéciale » (16 mars 1940)y Il est temps que je définisse ce que j’appelle la mission de la Suisse, ou mieux e
18 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
22 e sera notre jugement au dernier jour de tous les temps . Karl Barth nous le disait l’autre jour à Tavannes : comme chrétiens,
23 et non pas tel ou tel démon qu’il nous délègue de temps à autre. Le combat que nous devrons peut-être engager militairement c
19 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
24 e une vacance, un espace qui ne soit mesuré et un temps qui ne soit rythmé que par les lois intimes du sujet fascinant. Chaqu
25 du sujet fascinant. Chaque œuvre veut et crée son temps à soi, dans la vie de l’auteur qu’elle choisit. Mais aujourd’hui, je
26 hoisit. Mais aujourd’hui, je ne puis que subir le temps brutal des événements. Ils mènent le jeu, jusque dans mes pensées. Dé
27 vous inquiéter ? Quand la guerre sera là, il sera temps d’y penser. » C’est qu’il ne croit pas à la guerre. Un second : « Com
28 respiration bienheureuse des anges gardiens de ce temps , dans l’enthousiasme, déchirant les voiles, du salut qui nous est pro
29 un « à venir » m’est rendu, un rythme heureux du temps , pour vingt-quatre heures, une plénitude de l’attente. D’ici là, plus
30 s événements qui nous font les gros yeux. Joie du temps retrouvé, dans l’instant d’un espoir qui fut pour moi la parabole sal
20 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
31 aime. Si nous avions su croire en lui pendant le temps de sa patience, nous aurions eu « des yeux pour voir », et pour conna
32 ir », et pour connaître les démons. Voici venu le temps de la colère, le temps des plaies d’Égypte, où les cœurs s’endurcisse
33 les démons. Voici venu le temps de la colère, le temps des plaies d’Égypte, où les cœurs s’endurcissent. Voici venue l’heure
34 unanimes dans la critique du « réalisme » de leur temps , et dans la prédiction des maux à venir — ceux qui fondent sur nous a
35 de l’État. Et contre tout l’« économisme » de son temps , il ose écrire : « Si quelque chose aujourd’hui menace la liberté, ce
36 aire, quelque chose de précis, que je veux dire à temps . Ils sont encore à l’écart de la guerre, et peut-être y resteront-ils
21 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
37 iance pour le présent. Il nous montre que de tout temps , la Suisse a été menacée par des puissances dix fois supérieures, et
22 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
38 assimiler, tout juger et tout absorber. Il serait temps de se remettre à la Diète ! 3. Suite du précédent. — Comment peut-on
39 l’un d’entre eux s’étonne, on lui répond que les temps sont difficiles. Je vois que dans le budget moyen d’un ouvrier suisse
40 et en particulier à dominer les masses13. Il est temps que la Suisse comprenne que le souci de son économie ne saurait plus
23 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
41 colas Manuel Deutsch, on ne s’embêtait pas de ton temps  ! On allait faire la guerre en Italie pour le plaisir d’un sang viole
42 rait quitter du même pas la planète… ⁂ Un vers du temps — d’un peu plus tard, sans doute, mais c’est encore le même rythme de
43  Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras ; donnes-en une part à sept et même à huit, car tu
44 e qu’il a mieux éclairé — écrit un chroniqueur du temps —, notre banneret Manuel apparut parmi nous comme un flambeau brûlant
24 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
45 ommes responsables depuis des siècles, depuis les temps du Saint-Empire : notre mission vis-à-vis de l’Europe. Nous sommes ch
25 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
46 récit intitulé Le Fanion des sept braves. Par les temps que nous vivons, une telle page prend une allure de véritable manifes