1 d’art, de littérature ou de pensée, marquant leur temps ou propageant un style doté du nom de sa terre natale. Il n’y eut jam

2 conjoncture présente, aux circonstances de notre temps . Ce fait détermine le caractère particulier de notre Institut, comme

3 roduction générale ne me laissent pas beaucoup de temps pour introduire le sujet particulier de mon cours, mais je souhaite q

4 ur les conceptions et croyances régnantes en leur temps , soit qu’ils les reflètent fidèlement — et ce sera une occasion de le

5 tissent aux réalisations que l’on sait dans notre temps . C’est donc une sorte de généalogie des grands desseins européens que

6 dans le même sens. La Suisse se doit de réagir à temps en soutenant plus « matériellement » que jusqu’ici les valeurs et les

7 Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)c Comme toutes les choses vivantes, organiques et intér

8 c. Rougemont Denis de, « Le fédéralisme et notre temps  », Cahiers de l’Alliance culturelle romande, Genève, mars 1963, p. 15

9 té de l’Europe à construire, je ne perdrai pas de temps à rappeler les maladies qui la menacent en permanence. La tyrannie de

10 titution fédérale, afin que l’Europe recouvre, au temps des grands empires, l’indépendance de décision qui échappe en fait à

11 du Continent ; il doit être facile à défendre, en temps de troubles, mais d’accès facile en temps de paix ; il ne peut être q

12 dre, en temps de troubles, mais d’accès facile en temps de paix ; il ne peut être qu’un petit pays, cependant très diversifié

13 il est allé conquérir pour son roi : les mœurs du temps sanctionnaient le droit du plus fort et Tristan apparaît tout au long

14 souvenu de son passage à Neuchâtel (où il fut un temps typographe) en écrivant son grand livre posthume, Du Principe fédérat

15 ants qui l’ont permis. Qu’a fait, pendant ce même temps , la Suisse légale ? Et que pensaient les Suisses moyens ? ⁂ Des lende

16 idéalisme ! Subversion de nos vieilles coutumes ! Temps perdu ! Ça ne se fera jamais ! » Je me souviens d’un débat devant le

17 e vient-elle pas de ce qu’il imagine un très long temps de marche devant lui, et certains objectifs qui, peut-être, parce qu’

18 quarantaine poindra l’angoisse de n’avoir plus un temps illimité pour rejoindre ses rêves ou sa vision. Beaucoup choisissent

19 e — à l’arrière, mais pour l’avenir — marquent un temps d’hésitation : c’est qu’on n’exige plus autant d’elles, et c’est viei

20 e. Car dans le monde réel où nous vivons, dans le temps bref qui nous est imparti, dans les limitations de toute nature confr

21 ement infini, ou qui ne finira qu’avec la fin des temps . Mais la croyance en un Dieu créateur et régulateur du cosmos le rend

22 l’accroissement de leurs ressources dans le même temps  : or ces dernières étaient déjà beaucoup trop faibles… Voilà le drame

23 ière question que je voudrais non pas traiter, le temps me manque, mais évoquer par trois exemples. Sur la question de savoir

24 pondit vite : « Je vous consacrerai volontiers un temps qui, à vrai dire, me manque. » Le congrès de La Haye, qui est l’origi

25 sujet — fut l’occasion pour notre ami de voler au temps qui se dérobait (ou si l’on veut : de dérober au vol du temps) quelqu

26 dérobait (ou si l’on veut : de dérober au vol du temps ) quelques pages qui ne vieilliront plus sur l’Europe des paysages, de

27 ifeste, Don Salvador se vit contraint de créer ce temps qui lui manquait pour présider congrès et comités en chaîne. Ce qu’il

28 cause de l’Europe, cause commune s’il en fût, un temps qui du même coup devait manquer à ce qu’on nomme leur œuvre personnel

29 du Nord. Ce sont vraiment des créations de notre temps , des organismes en train de naître de la combinaison de forces les pl

30 Il se peut que cette évolution exige bien plus de temps que les pionniers de l’Europe unie ne l’exigeaient et ne l’annonçaien

31 nt en retard d’une génération sur les réalités du temps . 19. Robert Lafont, La Révolution régionaliste, collection « Idées 

32 le d’une culture. Ça peut marcher pendant quelque temps , quelques années, mais à la longue ce n’est pas payant, même pour la

33 iait : « Je dois vous donner un avertissement. Le temps presse. Si nous devons constituer les États-Unis d’Europe, sous quelq

34 la seule chose véritablement importante de notre temps .26 Mais qui ne voit que ceci s’oppose à cela, dramatiquement, — que

35 e « seule chose véritablement importante de notre temps  » ? Qui ne voit que si l’Europe qu’appelait Winston Churchill n’est p

36 st de constater que la réalité politique de notre temps est encore la nation, autre chose est de s’en féliciter, d’affirmer q

37 ales sont aussi des réalités importantes de notre temps , mais je ne pense pas que le réalisme consiste à le proclamer avec fi

38 conomiques, techniques et démographiques de notre temps . Ils ne me semblent pas confirmer que « l’évolution joue dans le sens

39 siècle si elle n’est pas surmontée et remplacée à temps . La grande force de l’État-nation, c’est que les hommes et les femmes

40 i de Napoléon, les seuls empires réussis de notre temps se trouvent être des fédérations : les USA et l’URSS. Regardons maint

41 ges du passé dont l’unification prendrait trop de temps , demanderait trop d’énergie, et soulèverait trop d’oppositions.30 B

42 du Nord. Ce sont vraiment des créations de notre temps , des organismes en train de naître de la combinaison de forces les pl

43 Il se peut que cette évolution exige bien plus de temps que les pionniers de l’Europe unie ne l’exigeaient et ne l’annonçaien

44 ce cas serait « dissociée ». Je réponds qu’il est temps , qu’il est grand temps que nous cessions d’opposer un refus quasi aut

45 ée ». Je réponds qu’il est temps, qu’il est grand temps que nous cessions d’opposer un refus quasi automatique à toutes les p

46 avions pas encore élaboré la doctrine adaptée aux temps nouveaux — celle des régions…). 3. Certains « européens » (mais non l

47 où il trouvait son embouchure dans l’Égée. En ce temps -là, temps des cités et de l’Ionie, patrie de nos idées, les réflexion

48 uvait son embouchure dans l’Égée. En ce temps-là, temps des cités et de l’Ionie, patrie de nos idées, les réflexions sur l’ho

49 fois « ce qui ne change pas » et l’écoulement du temps irréversible ; le devenir indéfini et ce qui dure en résistant précis

50 plus spécifique de l’Europe — depuis l’aurore des temps , bien avant l’homme ! — que ce réseau de fleuves et de rivières qui a

51 lacs dans l’espace intérieur, mais aussi, dans le temps , tous les moments les plus typiquement suisses de notre histoire : le

52 uisse pour les faire déboucher sur l’espace et le temps du continent de notre destin. L’Europe est partout dans l’histoire co

53 lle veines de la pierre, et suinte de la nuit des Temps . Jamais plus près du Néant primordial, dans le noir pur. ⁂ Toutes ch

54 n pour le dîner. Si j’avais rencontré Gide, en ce temps -là, je me serais sans doute évanoui d’émotion. Dix ans plus tard, le

55 nté de dire : tant pis pour nous. Mais non : « le temps ne fait rien à l’affaire », l’actualité pas davantage, et son absence

56 paraissent les plus actuels ? 2. Gide fut de son temps un grand contestateur ; vous semble-t-il garder aujourd’hui valeur d’

57 on des secours à donner aux militaires blessés en temps de guerre… et si elles pouvaient attirer l’attention des personnes do

58 serait de faire donner des soins aux blessés, en temps de guerre, par des volontaires zélés, dévoués, et bien qualifiés pour

59 es conventions et des vertus de la Société de son temps  ; ni plus dénué d’amer et de vengeur esprit critique : pas un mot de

60 pas » : l’organisation des secours aux blessés en temps de guerre. Sur ce seul point, dans ce secteur strictement défini de l

61 re d’admettre, avec les bien-pensants de tous les temps , que ces horreurs sont fatales et voulues par les dieux ; c’est encor

62 ager, s’abandonnerait au zèle amer du censeur des temps nouveaux et aux compensations fictives d’utopies qui, comme celle de

63 vous et vos libertés nationales… Encore un peu de temps , et l’homme aura, grâce à la science, des moyens si prodigieux de fai

64 ant, pas plus que tant d’autres prophètes du même temps , Jakob Burckhardt, Nietzsche, ou Georges Sorel, n’a rien pu contre le

65 ges du passé dont l’unification prendrait trop de temps , demanderait trop d’énergie et soulèverait trop d’oppositions. Bien a

66 expansion ? Le pays de Gex, où l’on a eu, de tout temps , le goût de la mesure, de la solidité, de la simplicité ne souffrira-

67 Le pouvoir de sécuriser une population a de tout temps constitué la force principale d’un chef, roi, dictateur ou État répub

68 motivations du premier mariage sont la plupart du temps inconscientes. Complexe d’Œdipe, recherche d’un type de conjoint qui