1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
1 rait pas trop vite se réjouir. Il se peut que les temps qui viennent voient s’éveiller dans l’âme des masses une grande faim
2 ne religion. De n’importe quelle religion. Il est temps que le monde chrétien prenne conscience à la fois de cette chance et
2 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
3 , les souvenirs de notre enfance. Et voici que ce Temps Perdu, tout d’un coup, est encore plus proche : c’est l’an passé, c’e
4 r nos soucis, nos plaisirs personnels. Combien de temps encore, combien de semaines pourrons-nous goûter ce répit, et sentir
5 s il sait bien que c’est fini. Brève dispense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se lever. Il faut entrer résolument dan
6 grand jour du siècle mécanique, accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos cœurs, ce droit d’aimer
3 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
7 es titres des journaux du soir que le malheur des temps est une vieille expression… Oui, de tout temps, le sort du monde a ét
8 es temps est une vieille expression… Oui, de tout temps , le sort du monde a été quasiment désespéré. Seulement, maintenant, c
4 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
9 militaire qu’ont chanté les Déroulède de tous les temps , appartient en principe aux musées, depuis le 6 août. Les Alexandre,
5 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
10 que l’Europe. Calculez les distances. Supputez le temps qu’il faut à un corps expéditionnaire pour les franchir, et les condi
6 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
11 il s’éveillait d’une longue torpeur stupéfiée. Le temps de réfléchir est revenu. S’il n’y a rien dans le journal, cherchons d
7 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
12 ir, et m’étant égaré comme de coutume, j’ai eu le temps de trouver une ou deux conclusions avant la maison de mes hôtes, d’où
13 it pas à la survie, tandis que la foi des anciens temps redoutait une fin qui l’eût pourtant jetée dans l’Éternel ? J’arpenta
8 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Pour la suppression des visas (23 avril 1946)
14 emple. Combien d’hommes d’aujourd’hui vivent leur temps et se trouvent pratiquement en mesure de le vivre ? Combien sont-ils
9 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
15 agne est un danger nouveau bien aussi grave qu’au temps d’Hitler. C’est un enfer à notre porte. Et rien n’est aussi contagieu
10 1947, Le Figaro, articles (1939–1953). Le droit d’opposition (3 avril 1947)
16 ue les Russes s’expliquent. M. Molotov demande le temps de réfléchir. Pour occuper l’attente, la presse soviétique se livre à
11 1948, Le Figaro, articles (1939–1953). Sagesse et folie de la Suisse (13 octobre 1948)
17 de 1848. Et quoi qu’en disent les détracteurs des temps modernes, c’est une des gloires de ces temps que cette idée ait acqui
18 des temps modernes, c’est une des gloires de ces temps que cette idée ait acquis plus de netteté, ce sentiment plus d’énergi
19 firmée, l’une des rares bonnes nouvelles de notre temps . Et vous pourrez y lire dans le concret une histoire qui dément la sa
12 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
20 massive des travailleurs. C’est ici le lieu et le temps de le répéter ou jamais : d’autres que les Soviets ont tiré sur la fo