1
et ordre d’attester avec l’un des prophètes de ce
temps
, que la raison d’un homme n’est pas sa raison d’être : « Cogitor, erg
2
uples calvinistes ont été les plus « actifs » des
temps
modernes. Il s’est même produit ceci (corruptio optimi pessima) que c
3
os églises, avec une virulence sourde, attisée de
temps
à autre par un sermon courageusement moralisateur2, ou résolument ant
4
e qu’un ordre qui me dit, à tel endroit précis du
temps
et de l’espace : voici ce que tu dois faire. À celui qui demande : q
5
t lorsqu’il voulut en étaler les éléments dans le
temps
et l’Histoire. Sa dialectique est devenue une espèce de bascule autom
6
ne dans l’ordre politique, par exemple, que notre
temps
croit devoir considérer comme plus réel que le spirituel. Il me paraî
7
ette éthique de la personne, par quoi, au bout du
temps
, se trouve-t-il à son tour jugé ? Si l’on récusait ces questions, on
8
ant Dieu, notre foi est vaine et c’est perdre son
temps
que d’en apprécier humainement l’expression la plus directe ; si au c
9
dans l’instant éternel, dans le contact mortel du
temps
et de l’éternité ; puisque tout cela, encore une fois, ne concerne qu
10
règne on peut mépriser la police ; puis vient un
temps
où l’on se lasse d’obéir à la force vivante, — et l’on institue la po
11
st certaine, mais son accomplissement est hors du
temps
, bien plus, il est la fin du temps. Or, le temps suit son cours, et n
12
nt est hors du temps, bien plus, il est la fin du
temps
. Or, le temps suit son cours, et nous sommes dans l’histoire, et l’hi
13
temps, bien plus, il est la fin du temps. Or, le
temps
suit son cours, et nous sommes dans l’histoire, et l’histoire tempore
14
à cause de la Loi. Rachetés, mais non pas pour ce
temps
. Restaurés, mais non pas dans la forme visible de ce monde. Ainsi la
16
porains de Jésus-Christ en faisant abstraction du
temps
qui nous sépare de son apparition terrestre. Notre formation historiq
17
éternité ; il n’y a pas une certaine quantité de
temps
et d’histoire, mais l’abîme absolu d’une différence de qualité ; il n
18
établir cette contemporanéité illusoire, dans le
temps
, à travers et par-dessus le temps, avec ce Jésus-homme si cher à la t
19
usoire, dans le temps, à travers et par-dessus le
temps
, avec ce Jésus-homme si cher à la théologie moderniste (de Lessing à
20
ption extrêmement précise et vigoureuse des trois
temps
de la Parole de Dieu. Nous la trouvons aux pages 148 à 155 du premier
21
(en cours de traduction). Il y a trois sortes de
temps
, dit Barth : le temps de Jésus-Christ, — le temps de ses témoins bibl
22
on). Il y a trois sortes de temps, dit Barth : le
temps
de Jésus-Christ, — le temps de ses témoins bibliques, — le temps de l
23
temps, dit Barth : le temps de Jésus-Christ, — le
temps
de ses témoins bibliques, — le temps de l’Église (notre temps). Ce so
24
Christ, — le temps de ses témoins bibliques, — le
temps
de l’Église (notre temps). Ce sont là les trois temps de la Parole. J
25
témoins bibliques, — le temps de l’Église (notre
temps
). Ce sont là les trois temps de la Parole. Jésus-Christ est la Parole
26
s de l’Église (notre temps). Ce sont là les trois
temps
de la Parole. Jésus-Christ est la Parole de Dieu (Jean i). Les écrits
27
ers eux, à la Parole même de Dieu. « Autre est le
temps
du parler direct et originel de Dieu lui-même dans sa Révélation, le
28
originel de Dieu lui-même dans sa Révélation, le
temps
de Jésus-Christ, le temps de celui qui a été annoncé aux prophètes et
29
dans sa Révélation, le temps de Jésus-Christ, le
temps
de celui qui a été annoncé aux prophètes et aux apôtres pour qu’ils e
30
pour qu’ils en témoignent ensuite, — autre est le
temps
de ce témoignage, le temps de la prophétie et de l’apostolat, le temp
31
nsuite, — autre est le temps de ce témoignage, le
temps
de la prophétie et de l’apostolat, le temps de Pierre sur lequel Chri
32
e, le temps de la prophétie et de l’apostolat, le
temps
de Pierre sur lequel Christ bâtit son Église…, — autre encore est le
33
l Christ bâtit son Église…, — autre encore est le
temps
de cette Église même, le temps de la prédication dérivée de la parole
34
utre encore est le temps de cette Église même, le
temps
de la prédication dérivée de la parole des prophètes et des apôtres,
35
tte parole et recevant d’elle sa norme. » Or, ces
temps
différents ne sont pas différenciés seulement par l’éloignement des s
36
te dans la hiérarchie de Dieu distingue les trois
temps
d’une manière tout à fait particulière, qui n’est pas celle dont se d
37
ière, qui n’est pas celle dont se distinguent les
temps
de l’homme en dehors de la Parole de Dieu, et qui dépend ici de la di
38
u, et qui dépend ici de la distinction propre aux
temps
de la Parole. » Autrement dit, ces trois temps ne sont pas dans le pr
39
ux temps de la Parole. » Autrement dit, ces trois
temps
ne sont pas dans le prolongement historique l’un de l’autre ; ce ne s
40
ce ne sont pas trois portions successives du même
temps
dans lequel nous vivons, mais bien trois espèces de temps distinctes.
41
ns lequel nous vivons, mais bien trois espèces de
temps
distinctes. D’où il résulte que l’on ne peut pas passer de l’un à l’a
42
arée de Philippe. Certes, Pierre vit dans le même
temps
que Jésus, le rabbi de Nazareth, mais il ne devient le « contemporain
43
moment, qui lui fait faire le « pas », le saut du
temps
de la prophétie au temps de la présence. Ou encore : c’est Dieu seul
44
’est Dieu seul qui peut faire passer l’homme d’un
temps
à l’autre, c’est par le « bon plaisir » de Dieu seul que nous pouvons
45
situation du brigand qui refuse. Christ, dans son
temps
, est le vis-à-vis absolu des apôtres dans leur temps. Et de même, le
46
ps, est le vis-à-vis absolu des apôtres dans leur
temps
. Et de même, le témoignage des apôtres, la Bible, est le vis-à-vis ab
47
e, est le vis-à-vis absolu de l’Église dans notre
temps
. Il dépend de Dieu seul, et nullement de nos efforts, que nous passio
48
lement de nos efforts, que nous passions de notre
temps
à ce temps des apôtres, ou à ce temps de la Parole faite chair. ⁂ On
49
os efforts, que nous passions de notre temps à ce
temps
des apôtres, ou à ce temps de la Parole faite chair. ⁂ On dira qu’il
50
ns de notre temps à ce temps des apôtres, ou à ce
temps
de la Parole faite chair. ⁂ On dira qu’il ne s’agit là que d’un schém
51
is nous conduire sur le plan véritable et dans le
temps
réel où ces témoins sont apparus. Dans un certain sens, on peut dire
52
e ou de notre imagination — machine à remonter le
temps
—, nous ne rejoindrons jamais que Nicodème, ou Salomon, le roi savant
53
t bien faible — qui se posent au chrétien en tout
temps
: mort à soi-même, obéissance, attente active du Christ vivant, pensé
54
mme jamais aucun juif ne l’a été. i. « Les trois
temps
de la Parole », Hic et Nunc, Paris, n° 9-10, mai 1935, p. 152-158.
55
tésien. » Étiez-vous vraiment « cartésien » en ce
temps
-là, cher Monsieur Nicodème ? Ou bien l’êtes-vous devenu ? Peut-on dir
56
i vaines… Minuit sonna, dans ce silence. Il était
temps
de prendre congé de nos hôtes. Mais un des étudiants, qui justement n
57
es ont été quasi anéanties durant la moitié de ce
temps
. Ne serait-il pas plus conforme à la probité historique et plus fécon
58
ce qui doit être dispensé diversement, selon les
temps
et les conjonctures différentes. (Méditations sur l’Évangile, lve jo
59
e sont fondés pour opposer à la tradition de leur
temps
(qui était encore le « Buvez-en tous ») un démenti formel (le prêtre
60
t d’autres) serait-il devenu moins grand, avec le
temps
, qu’il ne l’était en 1569 ? La tradition serait-elle une sorte de pro