1 ne s’est même pas posé la question. La coutume du temps est de s’enrichir : modeste, il s’y conforme. « … Et l’on s’attire po

2 thique, et qui manifeste seulement l’égarement du temps . « L’Éthique ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer e

3 e Signe de la condition humaine déchirée entre le Temps et l’Éternité. 1. Kierkegaard : « Conclusion peu scientifique à la

4 quoi l’on reconnaît l’intellectuel qui a pris son temps . Mais ce temps, où le prendre en conscience, et à qui ? De toutes par

5 naît l’intellectuel qui a pris son temps. Mais ce temps , où le prendre en conscience, et à qui ? De toutes parts ce serait tr

6 lui comme il savait qu’elle y viendrait. Quelque temps , il a pu éprouver la solidité de sa prise, la qualité du dynamisme qu

7 alors ? Justement non. Rompant avec la coutume du temps Dandieu n’y fait intervenir aucun lyrisme personnel. Ce livre aigu, t

8 étrale opposition. Il coupe toutes les erreurs du temps à 180 degrés, juste. Son œuvre nous apporte un dossier exhaustif des

9 e, ne suffit pas à établir entre sa pensée et son temps un contact véritable, un lien concret de responsabilité. C’est aussi

10 monde. Mais Nietzsche a beau se colleter avec son temps , il a beau, par dépit de l’impuissant amour « moral », renverser les

11 près tout — à cet acte de foi décisif. Il est un temps pour nuancer et balancer, et un temps pour trancher : pour ou contre.

12 . Il est un temps pour nuancer et balancer, et un temps pour trancher : pour ou contre. (L’intelligence est une épée, disait

13 icibles d’intensité et de concentration. C’est le temps de sa vie ! Ce nœud l’attestera. L’innocence du prédestiné, et la mal

14 e races, de religions, d’institutions de tous les temps , qu’aucune épée n’a jamais pu trancher. j. Rougemont Denis de, « Le