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Le
temps
des fanatiques (25 novembre 1938)a b Ce ne sont plus des signes da
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ec notre conscience. Il n’y a plus à discuter. Le
temps
des nuances est passé. L’état de siège est proclamé. Et celui qui dem
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religion païenne. a. Rougemont Denis de, « Le
temps
des fanatiques », La Vie protestante, Genève, 25 novembre 1938, p. 1.
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mais fort bien adapté à la myopie spirituelle des
temps
modernes. Voici : depuis deux ou trois siècles, il a plu au diable de
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ucoup s’y arrêtent : « Comment peut-on perdre son
temps
à ces balivernes d’un autre âge ? », disent-ils. Or ce sont eux qui s
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e la morale en vigueur dans son milieu, et de son
temps
. D’où l’on devrait déduire que le meilleur moyen de prévenir les état
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affadissement, l’on serait tenté de regretter le
temps
où Satan proposait des combats plus féconds… k. Rougemont Denis de
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vin et la nature de l’homme. Et voici le deuxième
temps
de la tentation : « La femme vit que l’arbre était bon à manger et a
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n être presque démodée. Car Satan marche avec son
temps
, et paraît se soucier de moins en moins de persuader l’individu, dans
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re un livre sur la possession diabolique dans les
temps
modernes, et montrer comment l’humanité qui se donne au diable, de no
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nt que c’était l’autre. Ainsi les hommes de notre
temps
, poussés par leurs « complexes de culpabilité » et fuyant devant l’av
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part de nos idéaux, enfin l’évolution générale du
temps
, favorisent ce plan de mille manières. Tout concourt, dans le cadre d
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ulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce
temps
, elle a ses sources au plus intime des existences individuelles. Et c
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ence des Dix ambassadeurs, à Londres1, prenne son
temps
. Il y a deux semaines, elle faisait bon accueil aux propositions déta
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étudie. Puisse-t-elle se laisser inspirer par ce
temps
de Pâques et les vacances, et puisse-t-elle prendre non seulement son
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ances, et puisse-t-elle prendre non seulement son
temps
, mais aussi les distances nécessaires pour mieux voir le problème dan
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sions Il y a peu de grandes visions dans notre
temps
. Le souci des intérêts immédiats et surtout la peur de la guerre nous
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ne prospérité sans précédent s’est opérée dans le
temps
même où l’Europe achevait de libérer ses colonies — dont on prétendai
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de la Terre — qui feront des observations sur le
temps
, sur le trajet des nuages ou des maladies — je ne sais quoi d’inatten
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; en lisant votre roman La Machine à explorer le
temps
, je l’ai compris moi aussi. Si nous arrivons à établir les communicat