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’incapacité de nos gouvernements à la réaliser en
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utile. Les gouvernants disaient : — Nous voudrions bien, mais l’opini
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s de Nietzsche, pratiquement appuyée dans le même
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et dans les masses élargies par les effets du capitalisme et par l’es
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érats qui se disent de bonne volonté ! Pendant ce
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que font les élites ? J’entends les hommes dont la fonction serait de
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e que, cette fois-ci, on ne nous laissera plus le
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de rater. Clichés mortels Après le congrès de Montreux, plusieu
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rer à la guerre entre nations ou entre partis, le
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presse, le moment est venu, peut-être même est-il trop tard ! Dans to
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me sans avenir. Le plus grand historien de notre
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, Arnold Toynbee, fait observer que les utopies classiques sont, en ré
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ge de l’anarchie de langage qui caractérise notre
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restera sans doute, aux yeux de l’historien, l’emploi simultané de ce
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nt de chance de survivre que si elles renoncent à
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au dogme tyrannique de leur souveraineté absolue, les partis n’ont de
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péenne. Il se passe quelque chose à l’Est. Il est
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qu’il se passe quelque chose en Europe ! Il est temps de réveiller l’
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s qu’il se passe quelque chose en Europe ! Il est
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de réveiller l’espoir d’une moitié séparée du continent. Il est temps
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’espoir d’une moitié séparée du continent. Il est
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de donner aussi à nos amis américains la certitude que nous ne sommes
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leur œuvre personnelle, leur collaboration, leur
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, aujourd’hui leur présence active. S’ils l’ont fait, c’est qu’ils se
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e Madariaga : « Je vous consacrerai volontiers un
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qui, à dire vrai, me manque. » Eh bien, le miracle de l’esprit n’est-
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stement de créer par quelque opération magique le
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qui manque, le sens qui manque, l’espoir et la vision qui, sans lui,
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nt de chance de survivre que si elles renoncent à
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au dogme tyrannique de leur souveraineté absolue, les partis n’ont de
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que et le plus vaste ensemble économique de notre
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. Jamais l’histoire du monde n’aura connu un si puissant rassemblement