1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 ce village où je suis né ; mesurer mon âge et le Temps . Mais la vie, mais ce train m’emportent. La parole est encore à ce qu
2 1948, Suite neuchâteloise. III
2 sait, les radicaux triomphaient partout. Il était temps d’adopter l’heure de Berne. Et ce fut 1848.  
3 1948, Suite neuchâteloise. IV
3 au loin l’harmonique et qui fait vibrer tous les temps , créant notre avenir aussi, parce qu’il ouvre l’attente ardente de sa
4 1948, Suite neuchâteloise. V
4 d’au-delà de mon petit pays, dans l’espace et le temps d’une plus vaste patrie. Les perspectives changent à vue, vertige et
5 spectives changent à vue, vertige et grisaille du temps . Une lignée, une famille parmi d’autres… Je la voyais dans son canton
6 ne main sur la gorge opulente, vint de Béziers au temps des dragonnades. Parmi ses ancêtres : Mirman, défenseur de la foi hug
5 1948, Suite neuchâteloise. VII
7 … Et le rêve s’éteint, guirlande morte, un peu de temps diaphane à l’horizon. Paysage emphatique et sombre, tout cerné de pro
6 1948, Suite neuchâteloise. VIII
8 J’ai l’ennui, tu t’encoubles, il aurait meilleur temps , on veut d’jà bien ça faire, vous voyez pas jour, ils n’en peuvent ri
9  ; dans lequel s’encoubler est plaisant, meilleur temps utile, le reste mauvais ou atroce.) Mais l’accent, c’est bien autre c