1
entier, il a bravement affirmé son unité. Car le
temps
n’est plus, où les jeunes gens se faisaient, avec sérieux, des âmes e
2
-être ne lui a-t-il manqué pour le devenir que le
temps
de méditer : il a quitté le collège jésuite pour la tranchée, puis «
3
étreinte du fauve merveilleux ». Il n’a pas eu le
temps
de se ressaisir, le sport prolongeant pour lui, d’une façon obsédante
4
nes gens : celle-ci empêche les abus, mais celles-
là
forment l’esprit. » M. de Montherlant illustre sa propre pensée de ce
5
n : les faits s’y pressent et s’y bousculent ; de
temps
à autre une notation d’artiste ou de psychologue se glisse dans leur
6
rues, il meurt en clamant la paix. M. Fabre avait
là
les éléments d’un grand roman : autour d’un sujet de vaste envergure,
7
eu embourgeoisée… Disons plutôt que voici venu le
temps
de la moisson, — le temps des éditions d’œuvres complètes. g. Roug
8
lutôt que voici venu le temps de la moisson, — le
temps
des éditions d’œuvres complètes. g. Rougemont Denis de, « [Compte
9
uer d’avoir conservé une vision générale de notre
temps
et un évident besoin d’impartialité. Son art bénéficie de cette visio
10
sans vertige sur ses abîmes. Simplicité de notre
temps
! Au-dessus de la trépidation immense des machines, un Saint-John-Per
11
littéraires, nos poètes respirent le même air du
temps
. Leur originalité se retrouve dans la manière dont ils tentent de fui
12
l’angle le plus éloigné du réduit, et se blottit
là
, sur le sol, les yeux grands ouverts dans le vide, sans rien voir. A
13
qu’un sens relatif pour nous protestants. Est-ce
là
nous juger ? Les catholiques nous reprochent d’avoir méconnu l’élémen
14
issement profond et la ruine. Mais certes, il est
temps
qu’une lueur de conscience inquiète quelques chefs, montre à quelques
15
ques autres, sont parmi les plus conscients de ce
temps
; mais si l’on songe aux bataillons de pâles opportunistes sans cultu
16
soulevées par une même tempête. L’unité de notre
temps
est en profondeur : c’est une unité d’inquiétude. Barrès et Gide : il
17
le condamner, et nous ne pouvons le suivre jusque-
là
: il est vain de dire qu’une époque s’est trompée, puisqu’elle seule
18
ssent pas de peindre leur déséquilibre. Il serait
temps
de faire la critique des méthodes et des façons de vivre autant que d
19
ndent mener les surréalistes, il n’a fallu que le
temps
pour une folie de s’emballer. La plupart des romans de jeunes qui se
20
rivains — se souviennent de penser en fonction du
temps
présent, soit qu’ils veuillent en améliorer les conditions, ou les tr
21
e notre existence… construire les villes de notre
temps
». Et je déplie ce plan d’une « ville contemporaine ». Pures géométri
22
tant d’autres désirs contradictoires ; au gré du
temps
, d’un sourire, d’un sommeil, tant de bonheurs ou de dégoûts étranges
23
s sur Proust, Pater et Stendhal. Certes, il était
temps
que l’on dénonce la confusion romantique de l’art avec la vie, qui em
24
ament lyrique d’une puissance contagieuse. Il y a
là
de quoi faire oublier des défauts qui tueraient tout autre que lui. C
25
le plus beau don de l’Orient à l’Europe ? Il y a
là
des pages d’un accent très noble et courageux mêlé, parfois, d’une ce
26
rtant l’on sourit : il faut bien croire qu’il y a
là
un talent, charmant, glacé, spirituellement « poétique ». y. Rouge
27
mpathiser avec son idéal de culture. Il n’y a pas
là
deux points de vue irréductibles, du moins M. Malraux a fait parler s
28
par l’inévitable discours sur les difficultés du
temps
, en général, et sur celles en particulier qu’implique la publication
29
ons un mythe prendre corps parmi les ruines de ce
temps
. Il fallait bien tirer quelque vertu d’une anarchie dont on ne veut p
30
aine de la littérature contemporaine. Cette sorte-
là
de sincérité, on la nomme gratuité. Lafcadio poussant Fleurissoire «
31
rs certain but précis. Ou bien j’aurais juste le
temps
de le noter avant de partir. Ou bien je me mettrai à l’analyser plus
32
e faire mon autoportrait moral : je bouge tout le
temps
. Danger de faire mon autoportrait moral : je me compose plus laid que
33
ndividu — en dehors du corps. Et ce ne sont point
là
jeux d’idées et jongleries verbales. Regards au-dessus de l’amour ! V
34
ard qui opère au commandement de la main. Ce soir-
là
, une confiance me possédait, telle que je savais très clairement que
35
ses glabres et poux barbus », qui perdraient leur
temps
à recenser les incohérences pittoresques de ce petit livre. Quant à c
36
gions de chasse gardée du ci-devant soleil. C’est
là
qu’Urbain, premier du nom dans sa famille, laquelle n’avait compté ju
37
es l’objet de l’amour. Mais les jeunes gens de ce
temps
ne cultivent point cette fièvre. Et comme la morale ne sait plus leur
38
u’il nous peint sont ici tant soit peu russes, et
là
, gidiennes. Il se connaît assez pour savoir ce qui est en lui de l’ho
39
l’allure est rare autant que sympathique, dans le
temps
que sévit l’inflation littéraire la plus ridicule. Pourtant, qu’elle
40
plaisir, comme on dit, sans doute parce que c’est
là
que se nouent les douleurs les plus atrocement inutiles. La première
41
iée. Puis je vous ai revue, aux courses, et c’est
là
que j’ai découvert que vous existiez en moi, à certain désagrément qu
42
rue et qui avait votre démarche. Mais, pendant ce
temps
, vous pouviez paraître enfin où mon désir surmené vous appelait encor
43
sir surmené vous appelait encore, haletant. Et le
temps
passait, à la fois si lent — jusqu’à l’arrivée du prochain métro, du
44
mon esprit. Peut-être que j’ai perdu la notion du
temps
. Je ne me souviens plus que de cette déception insupportable et défin
45
d’un trait pur. Il semble que Cocteau ait réalisé
là
exactement ce qu’il voulait. Et pourtant cette admirable machine ne m
46
déjà meurtri, la suivaient en hurlant : « Bas-toi
là
, bas-toi là ! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une maîtres
47
, la suivaient en hurlant : « Bas-toi là, bas-toi
là
! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une maîtresse jadis bel
48
fois autour d’un feu et le contemplent un certain
temps
en silence. « Well ! », dit enfin Dardel. Les autres n’en pensent pas
49
c des surréalistes hétérodoxes. Il revint juste à
temps
pour assister à la cérémonie de la pose du point final de « Cinématom
50
ision prestigieuse et désolée… M. Jaloux a trouvé
là
un sujet qui convient admirablement à son art, où s’unissent aujourd’
51
me dans l’une des dernières phrases de Sylvie : «
Là
était le bonheur, peut-être… »). Mais le ton reste si léger, spiritue
52
chose, il faut transplanter. Max Jacob. Ce soir-
là
, le programme comprenait : un film d’avant-guerre ; un film japonais
53
! lui dis-je, si seulement. » Mais tout de même,
là
par exemple, où nous ne pouvons nous empêcher d’admirer l’utilisation
54
’est le fait d’un art à sa maturité. Mais ce sont
là
critiques de style. D’ores et déjà, il faut admirer dans les films de
55
e dans une lumière qui la métamorphose ; c’est un
temps
nouveau, et l’espace en relation se modifie pour maintenir je ne sais
56
rt. » Nulle part, pensais-je : le salut n’est pas
là
, ou là, à Rome, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine, dans ces œu
57
ulle part, pensais-je : le salut n’est pas là, ou
là
, à Rome, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine, dans ces œuvres, à
58
Rougemont. Le Sens Critique. — Il y a un certain
temps
déjà que nous ne nous sommes revus. Mais je suis vos travaux avec int
59
x avec intérêt, et il m’a paru que depuis quelque
temps
… enfin, comment dirais-je… je me suis dit que je pourrais, en quelque
60
Seulement, mon cher Monsieur, nous n’avons pas le
temps
ces jours-ci, beaucoup trop à faire, beaucoup trop d’êtres et de chos
61
p à la cantonade : Qu’il vienne, qu’il vienne Le
temps
dont on s’éprenne ! Les œuvres les plus significatives de ce siècle
62
de comique un peu bizarre qu’il glisse si souvent
là
où on l’attend le moins. Conrad Meili apporte chez nous une inspirati
63
lac, certaines atmosphères délavées et sourdes. «
Temps
couvert, calme, légères précipitations » annonce le bulletin. Tiens,
64
sse en cinq ans de Baudelaire à Rubens. Il fut un
temps
où l’on put craindre que Charles Humbert ne devînt le chef d’une écol
65
à notre civilisation, — et je sais bien que c’est
là
un des signes de sa décadence. Il y a du chirurgien chez ce soldat de
66
e de l’Église. (Ici, il but une gorgée et prit un
temps
.) » Je vous fais grâce, poursuivit-il, de la chronique de ma vie de r
67
de plantation, le siècle ne sera plus malade, les
temps
seront guéris de leur crise, les valeurs auront retrouvé leur stabili
68
ême un ou deux petits phénomènes sociaux de notre
temps
que cette méthode ne suffirait pas à supprimer. Or, ils nous paraisse
69
est ailleurs. L’addition, s’il vous plaît. Il est
temps
de sortir de ce café et de ces jeux, simulacres de vie, qui sont à la
70
s importe véritablement n’est dicible. (Depuis le
temps
qu’on sait que la lettre tue ce qu’elle prétend exprimer ; depuis le
71
ettre tue ce qu’elle prétend exprimer ; depuis le
temps
qu’on l’oublie.) Vous me direz que la poésie, l’état poétique, est no
72
signaux de l’angoisse sur quoi se fondent, en ces
temps
, nos amitiés miraculeuses. Voici donc les seules révélations que j’
73
ands que les bienfaits que j’en escompte, il sera
temps
de songer sérieusement à m’en guérir. Vous me demanderez « alors » ce
74
e française. Narcisse, personnage mythologique. —
Là
! [NdE] Le texte publié place également un appel de note plus bas dan
75
sse = révolution Tous les malentendus viennent de
là
. Nous sommes assez sages et assez fous pour ne pas en gémir et pour e
76
et pour en accepter les conséquences. Et puis, de
temps
à autre, voici que nous parvient un signe d’amitié qui ne trompe pas.
77
ut, un miracle. Et puis, ils ont des vieux un peu
là
, du grand Arthur-Alfred-Albert au non moins grand Tanner. (On a fait
78
générale de la vie mondiale. Toutes les forces du
temps
y concourent obscurément ; et, pour peu que cela continue, pour peu q
79
uestion de quelques années. Mais peut-être est-il
temps
encore. Ici et là, quelques cris s’élèvent dans le désert d’une époqu
80
nnées. Mais peut-être est-il temps encore. Ici et
là
, quelques cris s’élèvent dans le désert d’une époque déjà presque aba
81
ible progrès aurait-il fait fausse route ? Est-il
temps
encore de le détourner du désastre spirituel vers lequel il entraîne
82
complaisance générale à proclamer le désordre du
temps
. On a peur de certaines évidences, on préfère affirmer que tout est i
83
ion, enfin d’une première automobile fabriquée, à
temps
perdu, alors qu’il est simple mécanicien chez Edison. Il fonde tôt ap
84
la plus grave question qu’on puisse poser à notre
temps
. II. M. Ford a ses idées, ou la philosophie de ceux qui n’en veule
85
s. Car cela va bien plus profond, cette tromperie-
là
. Elle peut amener, en se généralisant, une sorte de suicide du genre
86
sant. Mais la nature humaine a des limites. Et le
temps
approche où elles seront atteintes. On peut se demander jusqu’à quel
87
té : La liberté consiste à travailler pendant le
temps
convenable et à gagner, par ce moyen, de quoi vivre convenablement to
88
nts de technique. Il n’a pas senti qu’il touchait
là
le nœud vital du problème moderne. D’ailleurs, les idées générales de
89
réface, égale aux plus grands esprits de tous les
temps
. On me dira que Ford a mieux à faire que de philosopher. Je le veux.
90
s vérités essentielles ? Il semble bien que notre
temps
ait prononcé définitivement le divorce de l’esprit et de l’action.
91
utopique. Nous avons mieux à faire, il n’est plus
temps
de se désintéresser simplement des buts — si bas soient-ils — d’une c
92
3. L’Illustration, 20 novembre 1926. 4. Ici et
là
, la révolte perce : « Jugendbewegung » en Allemagne ; surréalisme en
93
ez certaines choses par votre souffrance… Mais le
temps
approche où vous n’aurez plus besoin de souffrir pour comprendre. Le
94
femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le
temps
de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne sûmes pas dissimule
95
re flatteuse aux caprices redoutables. Cette nuit-
là
nous rencontrâmes des anges au coin des ruelles, des oiseaux nous par
96
é magnifique et angoissante. Il mêle tout dans le
temps
et l’espace. Cent années et tous les visages aimés revivent dans cett
97
es hommes d’action les forces caractéristiques du
temps
— argent, races — et ses rares passions, qui sont la domination et la
98
e Pourtalès de ce qu’il préfère parler d’illusion
là
où nos psychiatres proposeraient de moins jolis mots ; mais ce n’est
99
mme un enfant sage que le monde lui donne, en son
temps
, sa petite part. On lui a expliqué qu’il fallait la mériter et tâcher
100
est. C’est une autre manie de sa génération. Mais
là
encore il se singularise : il n’écrit pas de livre pour y pourchasser
101
le lecteur par ruse jusqu’à la dernière page, et
là
déclare froidement ne pas exister. Non : il a remarqué que l’époque p
102
couleur, de rêves, de visages, tandis que ç[à] et
là
s’ouvrent des perspectives saisissantes sur l’époque. Anderson est av
103
sme, plein de verdeur et souvent d’amertume. Mais
là
où d’autres placeraient le couplet humanitariste, lui s’en va dans un
104
ntribué davantage que n’importe quel autre de mon
temps
à faire aboutir la standardization à sa fin logique, ne pourrait-il p
105
ent la virilité et le respect de soi était de son
temps
le souverain du monde. Tamerlan pour les anciens. Ford pour les moder
106
évus et réduits à néant ici même ; mais — gain de
temps
— je n’aurai plus qu’à renvoyer aux lettres A ou B, selon. A. Réponse
107
aire comprendre avec enthousiasme que ces vérités-
là
n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que je viens d
108
minante de notre malaise. Il me fallut un certain
temps
pour m’habituer à cette idée. Je tenais cette clef et n’osais m’en se
109
e sérieux, avec un P majuscule. On sent que c’est
là
son affaire : Monsieur en un mot est M’sieu l’Instituteur. Signes par
110
valeur d’un témoignage, ni plus ni moins — il est
temps
que je fasse passer un petit examen aux principes de cette institutio
111
n’a qu’une clairvoyance intéressée : mais celles-
là
sont les plus vives. Enfin, je tiens à reconnaître qu’ici je ne cherc
112
s l’avenir, d’une ou deux générations. Pendant ce
temps
elle s’aggrave, et nous voici avec l’héritage de cinquante ans de rad
113
us ne comprenons pas la plaisanterie et que notre
temps
est précieux. D’ailleurs, les enfants ne se plaignent pas, de quoi vo
114
d’en rendre compte de la même façon, dans le même
temps
. Contentons-nous de remarquer que ce principe est à la base du systèm
115
par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête
là
. Les manuels ne correspondent à aucune réalité. Ils ne renferment rie
116
gavage, c’est qu’on ne peut laisser aux élèves le
temps
qu’il faut pour assimiler ce qu’ils apprennent. Ils sont forcés de gâ
117
’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits.
Là
encore il y a une exagération absurde, une généralisation si schémati
118
r qu’il n’est que ridicule et mesquinerie. Il y a
là
une préméditation de médiocrité que je ne puis m’empêcher de trouver
119
tellement avec ceux du bon sens. Je m’en tiendrai
là
, renonçant pour cette fois à démontrer, ce qui serait facile, qu’ils
120
s vous êtes, de ce fait, contre le régime. Il y a
là
, dirait M. Prudhomme, un bien grave dilemme. 4. Ce ne sont pas seu
121
dément, on se glisse à l’intérieur de son esprit,
là
où s’élabore son invention ; on capte scientifiquement les sources mê
122
uivoque frappe tout essai de réforme. Qu’il y ait
là
cependant une possibilité pratique d’en sortir, je ne le nie pas. Mai
123
plus longtemps possible, pour qu’on n’ait pas le
temps
de se rendre compte que tout cela est absurde. Pour qu’on n’ait pas l
124
ue tout cela est absurde. Pour qu’on n’ait pas le
temps
d’écouter la nature qui répète par toutes ses voix, d’un milliard de
125
açons, que c’est absurde. Pour qu’on n’ait pas le
temps
de découvrir la Liberté9, parce que celui qui l’a embrassée une fois,
126
notre Institutrice qu’un rendu. Car dans ce monde-
là
« tout se paye » comme ils disent avec une satisfaction sordide et ma
127
e s’est vendue à des intérêts politiques. C’était
là
, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. Elle participe
128
rganisation. Or il semble bien que nous en soyons-
là
, s’il faut en croire les signes de révolte qui apparaissent de toutes
129
nstitue la plus grande force antireligieuse de ce
temps
. L’instruction religieuse qui prend les enfants au sortir de l’école
130
ut entier. Je distingue dans cette opération deux
temps
: d’abord critiquer ce qui est — par la comparaison avec ce qui fut,
131
et de l’anarchie que les génies directeurs de ce
temps
ont inspiré à beaucoup d’entre nous — encore que peu l’avouent. Car d
132
longtemps à ces idées antidémocratiques : il est
temps
qu’elles débordent ce cercle étroit et distingué. Il y a de grands ba
133
maintenant, je vais m’y prendre pour préparer les
temps
nouveaux. Énorme question. Aurai-je la naïveté non moins énorme d’esq
134
ionalisme12 et la sentimentalité. Ce rationalisme-
là
triomphe non seulement dans les principes démocratiques, et dans ceux
135
re — nouvel être. Notre époque serait le deuxième
temps
d’une de ces triades. Son rationalisme nie l’être sous toutes ses for
136
ou bien c’est qu’elles sont déjà mortes. Mais le
temps
vient où elles renaîtront à une vie nouvelle et plus complète, à un d
137
rer la raison. Je crois que nous approchons de ce
temps
. Et que le véritable progrès veut qu’on s’attaque à tout ce qui entra
138
te danse de Saint-Guy politique dont rien de leur
temps
ne pouvait offrir la moindre préfiguration ? Eh bien ! induisez de ce
139
de) et les philosophes13 les mieux informés de ce
temps
s’accordent sur un point : le salut de l’Europe est lié à la naissanc
140
de n’importe quoi, comme on sait, et ils auraient
là
l’occasion de racheter bien des choses. Ce n’est rien de moins qu’une
141
’une rédemption du journalisme, ce que je propose-
là
. Et c’est ainsi qu’on peut imaginer sans trop d’invraisemblance de pe
142
s auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-
là
diront que je veux militariser l’enseignement ou transformer les coll
143
s’épargnerait de longs énervements. Il n’y a pas
là
de quoi se tordre. Car tout cela nous donnerait des années de liberté
144
e le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse le
temps
de la regarder. De faire connaissance. Je ne sais s’il est très exagé
145
rez bien. Cela se fera sans vous. Déjà revient le
temps
des mages : ils comprennent les théories d’Einstein, ils composent de
146
cela manque de chair. Et de rêve. Est-ce qu’en ce
temps
-là on ne se nourrissait vraiment que de petits mots d’esprit et de ma
147
anque de chair. Et de rêve. Est-ce qu’en ce temps-
là
on ne se nourrissait vraiment que de petits mots d’esprit et de malic
148
les deux verres d’eau que le garçon renouvelle de
temps
à autre, à lire des potins tout en essuyant une moustache de crème fo
149
t assez longuement d’un des poètes auxquels notre
temps
doit vouer l’attention la plus grave — car il vécut dans ces marches
150
Hymnes une sérénité presque effrayante. Vient le
temps
où le sens de son monologue entre terre et ciel lui échappe. Il jette
151
maison, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a
là
une station de canots de louage où j’ai vite découvert un « Friedrich
152
ur, tout justement, nous fait comprendre, dans le
temps
même qu’il nous entr’ouvre le ciel, qu’il est bon qu’il y ait le mond
153
peu plus loin d’autres souvenirs attristés par le
temps
, des visages qui ne sont plus tout à fait les mêmes, des bonheurs qui
154
qu’il est bon de proposer à la réflexion de notre
temps
, ne fût-ce que pour faite honte à ceux qui sont encore capables d’une
155
mépris pour la révélation évangélique. Je ne vois
là
que l’indice d’une confusion bien française, hélas. ba. Rougemont
156
, mais sans espoir. Il lui écrivit, en sortant de
là
, dans une crèmerie pleine de couples à la mode. Mais en écrivant il p
157
évus et réduits à néant ici même ; mais — gain de
temps
— je n’aurai plus qu’à renvoyer aux lettres A ou B, selon. A. Réponse
158
aire comprendre avec enthousiasme que ces vérités-
là
n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que je viens d
159
minante de notre malaise. Il me fallut un certain
temps
pour m’habituer à cette idée. Je tenais cette clef et n’osais m’en se
160
valeur d’un témoignage, ni plus ni moins — il est
temps
que je fasse passer un petit examen aux principes de cette institutio
161
s l’avenir, d’une ou deux générations. Pendant ce
temps
elle s’aggrave, et nous voici avec l’héritage de cinquante ans de rad
162
us ne comprenons pas la plaisanterie et que notre
temps
est précieux. D’ailleurs, les enfants ne se plaignent pas, de quoi vo
163
d’en rendre compte de la même façon, dans le même
temps
. Contentons-nous de remarquer que ce principe est à la base du systèm
164
par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête
là
. Les manuels ne correspondent à aucune réalité. Ils ne renferment rie
165
gavage, c’est qu’on ne peut laisser aux élèves le
temps
qu’il faut pour assimiler ce qu’ils apprennent. Ils sont forcés de gâ
166
’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits.
Là
encore, il y a une exagération absurde, une généralisation si schémat
167
r qu’il n’est que ridicule et mesquinerie. Il y a
là
une préméditation de médiocrité que je ne puis m’empêcher de trouver
168
tellement avec ceux du bon sens. Je m’en tiendrai
là
, renonçant pour cette fois à démontrer, ce qui serait facile, qu’ils
169
s vous êtes, de ce fait, contre le régime. Il y a
là
, dirait M. Prudhomme, un bien grave dilemme. 4. Ce ne sont pas s
170
dément, on se glisse à l’intérieur de son esprit,
là
où s’élabore son invention ; on capte scientifiquement les sources mê
171
uivoque frappe tout essai de réforme. Qu’il y ait
là
cependant une possibilité pratique d’en sortir, je ne le nie pas. Mai
172
plus longtemps possible, pour qu’on n’ait pas le
temps
de se rendre compte que tout cela est absurde. Pour qu’on n’ait pas l
173
ue tout cela est absurde. Pour qu’on n’ait pas le
temps
d’écouter la nature qui répète par toutes ses voix, d’un milliard de
174
açons, que c’est absurde. Pour qu’on n’ait pas le
temps
de découvrir la Liberté 9, parce que celui qui l’a embrassée une fois
175
notre Institutrice qu’un rendu. Car dans ce monde-
là
« tout se paye » comme ils disent avec une satisfaction sordide et ma
176
e s’est vendue à des intérêts politiques. C’était
là
, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. Elle participe
177
rganisation. Or il semble bien que nous en soyons-
là
, s’il faut en croire les signes de révolte qui apparaissent de toutes
178
nstitue la plus grande force antireligieuse de ce
temps
. L’instruction religieuse qui prend les enfants au sortir de l’école
179
ut entier. Je distingue dans cette opération deux
temps
: d’abord critiquer ce qui est — par la comparaison avec ce qui fut o
180
t de l’anarchie que les génies destructeurs de ce
temps
ont inspiré à beaucoup d’entre nous — encore que peu l’avouent. Car d
181
longtemps à ces idées antidémocratiques : il est
temps
qu’elles débordent ce cercle étroit et distingué. Il y a de grands ba
182
maintenant, je vais m’y prendre pour préparer les
temps
nouveaux. Énorme question. Aurai-je la naïveté non moins énorme d’esq
183
onalisme 12 et la sentimentalité. Ce rationalisme-
là
triomphe non seulement dans les principes démocratiques, et dans ceux
184
re — nouvel être. Notre époque serait le deuxième
temps
d’une de ces triades. Son rationalisme nie l’être sous toutes ses for
185
ou bien c’est qu’elles sont déjà mortes. Mais le
temps
vient où elles renaîtront à une vie nouvelle et plus complète, à un d
186
rer la raison. Je crois que nous approchons de ce
temps
. Et que le véritable progrès veut qu’on s’attaque à tout ce qui entra
187
te danse de Saint-Guy politique dont rien de leur
temps
ne pouvait offrir la moindre préfiguration ? Eh bien ! induisez de ce
188
e) et les philosophes 13 les mieux informés de ce
temps
s’accordent sur un point : le salut de l’Europe est lié à la naissanc
189
de n’importe quoi, comme on sait, et ils auraient
là
l’occasion de racheter bien des choses. Ce n’est rien de moins qu’une
190
’une rédemption du journalisme, ce que je propose-
là
. Et c’est ainsi qu’on peut imaginer sans trop d’invraisemblance de pe
191
s auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-
là
diront que je veux militariser l’enseignement ou transformer les coll
192
s’épargnerait de longs énervements. Il n’y a pas
là
de quoi se tordre. Car tout cela nous donnerait des années de liberté
193
e le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse le
temps
de la regarder. De faire connaissance. Je ne sais s’il est très exagé
194
rez bien. Cela se fera sans vous. Déjà revient le
temps
des mages : ils comprennent les théories d’Einstein, ils composent de
195
isonnier de la nuit (avril 1930)p I Depuis le
temps
qu’on tire du canon à son perdu depuis le temps que sonnent les marée
196
e temps qu’on tire du canon à son perdu depuis le
temps
que sonnent les marées à flots perdus sous la coupole errante des pri
197
e où je suis né, qui n’est pas ma patrie. Ce soir-
là
, le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adress
198
versons la nuit rose et violette de Montparnasse.
Là
, l’insondable lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lisière
199
oire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…) De
là
, je le suppose, une certaine misanthropie en germe : les êtres change
200
me : les êtres changent trop vite, je n’ai pas le
temps
de me laisser envoûter ou de les rendre esclaves, hors de quoi je ne
201
s êtres rêvés m’emportent ! — Ils me conduiraient
là
où je ne sais pas que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je re
202
upart suffisantes. Francis de Miomandre n’est pas
là
. Il a téléphoné au début de l’après-midi qu’il commençait un roman. S
203
rfaire ? — il est bientôt minuit. Mon fantôme est
là
. Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais
204
t minuit. Mon fantôme est là. Un chien, Dick, est
là
. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. A
205
. Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas
là
, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. Albert Béguin, André Würmser,
206
Würmser, Théobaldus Bombast et Mlle Monnier sont
là
. Jacques Chenevière pourrait très bien être là, puisqu’en ma voisine,
207
nt là. Jacques Chenevière pourrait très bien être
là
, puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille de neige. On la se
208
d’adorables roseurs boréales. Hoffmann n’est pas
là
, mais bien Dollonne, ce qui revient au même. Une femme fatale et un g
209
même. Une femme fatale et un grand incompris sont
là
. Enfin, Jean Cassou, représentant Mgr le marquis de Carabas, absent d
210
t Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est
là
. Si vous enlevez Georges Petit, égaré, en ayant soin d’ajouter ceux q
211
ile au corridor, — à Paris. Bientôt… Mais il est
temps
de mettre à ces fariboles un terme19. J’ai du solide à équarrir. Et a
212
imerais lire un peu. Mes auteurs ? Goethe en tout
temps
; Rodolphe Toepffer (admiré par Goethe) ou Jérôme Cardan (xvie siècl
213
i fait s’envoler les ballons ?) 2. En vérité, ce
temps
est peu propice au mépris et à l’adoration : où que se portent nos re
214
out y a son écho le plus pur. Le voyage trompe un
temps
cette angoisse. J’irai chercher moi-même, me suis-je dit, je ferai to
215
e situer dans l’ensemble des constructions. C’est
là
qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’
216
en oui : je me ferai un mérite de perdre tout mon
temps
, si toutefois perdre conserve ici le sens qu’il a pris dans ce monde,
217
ai à chercher mon bien de midi à quatorze heures,
temps
qu’ils réservent à la mastication, entre deux séries d’heures de trav
218
urer cette mastication. Mais je m’égare, laissons-
là
ces moutons. 5. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le p
219
ui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-
là
ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement b
220
, — c’est alors ce qu’on appelait un paradoxe, du
temps
des petites manières. Cependant, la réalité d’un pays apparaissant en
221
ue ; je vous conseille de n’y plus penser quelque
temps
… Car on ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver
222
de moins en moins à « réfléchir » sa création. De
là
sa folie, qu’il pressent. Et M. Babelon cite à ce sujet des phrases t
223
nt ne point songer ici au génie qui, dans le même
temps
, figure l’antithèse de Hölderlin : l’« économie » d’un Goethe, bien s
224
es lueurs réminiscentes. Ce sont les quatrains du
temps
de la folie, poèmes véritablement « posthumes », que Pierre Jean Jouv
225
fusion de sentimentalisme et de passion, et c’est
là
son miracle. Si tu n’as pas le sens de la musique, conserve quelque e
226
stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-
là
, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux ma
227
e lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit du
temps
tu vis, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu cet air inaccoutumé
228
ar la main. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce
là
tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
229
res semblables, en voyage, je me dis que c’est de
là
que j’ai tiré le sentiment d’absurdité foncière qu’il m’arrive d’épro
230
oit, ni même par lui, — mais à cet endroit, en ce
temps
… Qui sait si tu ne l’as pas reçue ? Une qualité, une tendresse, quelq
231
ns insistants, moins concertés. Mais n’est-ce pas
là
un défaut qui relève de la nature même d’un esprit « critique » dans
232
mble lui conviennent. On le conçoit, ce n’est pas
là
se rendre la tâche facile. Cernant de toutes parts son sujet, M. Du B
233
itique en présence des obstacles qu’il rencontre,
là
où le créateur, supposant le problème résolu (Racine), fait une œuvre
234
le « conforme » au vrai. Mais n’est-il pas grand
temps
de dépasser une réaction de vulgarité non moins artificielle que le l
235
ansformé que spirituellement. Et cette révolution-
là
a l’avantage d’être possible dès maintenant. Mais M. Nizan a trop de
236
e que tout chrétien conscient des problèmes de ce
temps
, souscrirait aux critiques que M. Nizan fait à l’actuelle civilisatio
237
’est donc qu’il y en a ? avez-vous dit. Depuis le
temps
qu’on cherchait à nous faire croire qu’une origine protestante était
238
parisienne la plus fringante et bariolée. Il y a
là
quelque mystère ; demandons-en l’explication à la Préface d’un si bri
239
ents, vitrines, coffrets, objets ouvragés. Il y a
là
une tradition qui certainement est bien huguenote : elle remonte aux
240
on, il y a tous les sujets chrétiens ! C’est bien
là
que nous voulions en venir : le dogme ne doit être qu’un stimulant (u
241
type Lénine ou Ford. Soucieux de comprendre notre
temps
avant de le condamner ou de l’absoudre, défenseur convaincu d’une spi
242
’est un idéal positif, immédiat parce qu’éternel.
Là
où Keyserling dit seulement adaptation, nous ajoutons régénération ;
243
de Baring ne manquent pas à cette tâche, et c’est
là
l’important. Le mérite le plus rare de ce livre est sans doute de fai
244
re, d’aimer et de souffrir par son amour. C’était
là
choisir un sujet inévitablement tragique. Car si l’histoire de l’asce
245
rement douloureuses. Certains, peut-être, verront-
là
une condamnation des passions humaines, et comme la morale du roman.
246
l’esprit à la périphérie des vérités religieuses,
là
où elles paraissent s’opposer, au lieu de nous aider à les mieux péné
247
nt, le Mont-Blanc luit là-haut ; la Puissance est
là
, la tranquille et solennelle Puissance aux mille aspects, aux mille b
248
anco-anglais, fournit un contraste de haut goût.
Là
, les montagnes se prêtaient successivement à des interprétations soci
249
s (les Anglais). Ici, elles imposent une éthique.
Là
, elles prêtaient le romantisme de leur décor ; ici, par l’effort de d
250
i comporterait des risques extérieurs. Mais c’est
là
se contenter à bon marché, et personne ne croit plus à la vertu de si
251
munisme, comme son bien propre. Mais il n’y a pas
là
de quoi nous rassurer. Si la vie de Kagawa glorifie l’Évangile, elle
252
e, est un des livres les plus significatifs de ce
temps
. Non pas que nous manquions de témoignages sur les conditions d’exist
253
n entreprise. C’est même un des malheurs de notre
temps
, que l’action devenue trop rapide suppose une cécité partielle chez c
254
dicalement notre vie d’un conte de fées. Il n’y a
là
, de la part de l’auteur, nul parti pris de « réalisme » littéraire, m
255
érité, pourtant fort émouvante par moments. C’est
là
qu’il retrouve Tsuruko, la belle jeune fille qu’il aimait dans son ad
256
même qui était fou, Eiichi décida que, de ce jour-
là
, il entrerait en bataille contre cet ordre de choses. Il se délivre
257
erait la vie et toutes ses manifestations dans le
temps
. Il était ressuscité de l’abîme du désespoir et revenu au monde merve
258
t l’un des secrets de sa puissance. ⁂ Mais il est
temps
de tirer de ce livre une conclusion capitale qui, sans doute, fut l’o
259
rieur contraignant, un acte d’incarnation. Il y a
là
une exigence immédiate et par conséquent plus troublante que celle qu
260
n des écrivains les plus justement célèbres de ce
temps
, elle aura du moins le mérite de la spontanéité, qualité dont Gide ai
261
ication, « prêt à tous les effacements » (p. 59).
Là
où d’autres triompheraient, il met une sourdine. Car il sait que la m
262
sement de soi qu’obtient la volonté tendue, c’est
là
ce que nous avons surtout besoin qu’on nous montre… Je lui sais gré p
263
lâche plus. Il a beaucoup parlé de lui-même. Mais
là
où d’autres produisent l’impression pénible de se montrer, il arrive
264
le, c’est qu’elle était peut-être plus chaste. Au
temps
où le domaine intérieur du recueillement et de l’adoration lui demeur
265
objet a été enlevé ; les souffrances sont encore
là
, mais non plus les espérances de la religion, et l’âme, qui montait a
266
valables, à nos yeux, qui aient été émis en leur
temps
. La critique la plus moderne les confirme et les répète bien souvent
267
, génial disciple du Danois, et dont il est grand
temps
qu’on nous traduise quelques essais théologiques. L’œuvre de Rudolf K
268
assner donne la sensation à peu près unique en ce
temps
d’une pensée autoritaire. Entendons que pour lui, penser n’est pas se
269
érents. C’est pourquoi vous admettez que « beau »
temps
est le contraire de « mauvais » temps, et vous n’avez jamais cherché
270
ue « beau » temps est le contraire de « mauvais »
temps
, et vous n’avez jamais cherché ce que doit être le « bon » temps, ni
271
n’avez jamais cherché ce que doit être le « bon »
temps
, ni si les tempêtes sont « belles ». C’est pourquoi vous pensez encor
272
nt toujours religieux, alors que les femmes de ce
temps
sont seulement sournoises. Sonnette. — Lord Artur, vous m’amusez bea
273
us, aucun n’importe, sinon celui qui dans le même
temps
se passe à l’intérieur d’un être. Ainsi tout est changé, mais peu le
274
’Oracle qui lui avait dit d’aller bâtir une ville
là
où il trouverait la pluie et le beau temps, il rencontra en Italie un
275
Sonnette. — J’aime vos histoires, Lord Artur. (Un
temps
.) — Dites-moi, Lord Artur, si je pleurais, quel temps ferait-il pour
276
s.) — Dites-moi, Lord Artur, si je pleurais, quel
temps
ferait-il pour vous ? Lord Artur. — … Le beau mot : courtisane… Ce n
277
pleure, qui me réchauffe. Parce qu’elle se tient
là
« vêtue de son péché », — comme une courtisane. Mais vous n’êtes qu’u
278
de sa décomposition. Ici la famille qui résiste,
là
la famille qui se défait30. Mais gardons-nous de voir dans ce contras
279
it-ce qu’il y avait dans l’accent de ces docteurs-
là
quelque chose qui les empêchait de convaincre ? Tel étant l’état des
280
manquer de libérer des forces créatrices. Or les
temps
vont nous y contraindre. Que rien ne soit plus favorable à l’art que
281
ction serait d’exprimer notre civilisation, en un
temps
où elle se trouve brutalement mise en question, posent eux-mêmes si p
282
miliation, dans l’effroi ou dans la violence ? Le
temps
vient cependant où la métaphysique se posera ou sera niée en termes c
283
expliqués à la lumière des Écritures. La Fin des
Temps
est proche, il faut en témoigner. À tous il tend la Parole « morte au
284
férences du récit, surimpressions, changements de
temps
au cours d’une phrase, sont ici largement mis en œuvre mais toujours
285
d’une telle œuvre, datée de 1919 et reparue en un
temps
de crise, qu’elle en revêt une actualité accidentelle : c’est en quel
286
que sorte le contraire qui est vrai ; c’est notre
temps
qui revêt une actualité7 et une réalité véritables du fait de la cris
287
mystérieux de la forme mythique, le poète en tout
temps
a le pouvoir de le susciter dans son œuvre, comme le mystique dans sa
288
ne s’est même pas posé la question. La coutume du
temps
est de s’enrichir : modeste, il s’y conforme. « … Et l’on s’attire po
289
thique, et qui manifeste seulement l’égarement du
temps
. « L’Éthique ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer e
290
a culture dispense de penser. En vérité, ces gens-
là
n’ont jamais pensé. N’ont fait que de la classification avec les idée
291
de création possible que par les individus. Et de
là
vient que toute création absolue est héroïque. Socialisme (ou marxis
292
notre main. Par eux s’incarne la pensée, et c’est
là
l’héroïsme de l’esprit. Car toute incarnation s’opère au prix d’un hé
293
e Signe de la condition humaine déchirée entre le
Temps
et l’Éternité. 1. Kierkegaard : « Conclusion peu scientifique à la
294
nitié dans sa jeunesse, commence d’écrire vers ce
temps
, mais, la fièvre tombée, poursuivra durant toute sa vie une « activit
295
me, c’est-dire la similitude essentielle, hors du
temps
, qui paraît dans ces deux expériences, à mesure qu’on les abstrait de
296
eu ne le consume », écrit un de ses amis, vers ce
temps
. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de révolte psychique
297
en termes matériels, urgents et contraignants. De
là
le sérieux avec lequel il accepte les conditions de l’initiation : et
298
voix intérieure, la renie même bruyamment. C’est
là
le fait d’une âme qui se refuse encore à la souffrance et la crie sur
299
fond renoncement ; même si la passion l’occupe un
temps
, c’est l’action, la Tätigkeit — le grand mot goethéen — qui triompher
300
. Tous deux réalisent le renoncement, le deuxième
temps
de cette dialectique, dans un mouvement que sa violence rend unique :
301
l’âme du jeune ministre de 32 ans, adonné vers ce
temps
au plus dur effort d’organisation de son silence intérieur. Période d
302
baldienne. Mais chez Goethe, c’est la longueur du
temps
qui les dénoncera. Et cette fameuse sérénité de sa vieillesse, ce n’e
303
bien, dans la vie ordinaire, de garder ces choses-
là
pour soi et de n’en découvrir que juste ce qu’il faut pour qu’elles p
304
ières, des fins dernières, en tant que telles. De
là
ce rationalisme agressif qu’il oppose aux dévots : « S’occuper d’idée
305
vons les garder pour nous ; elles seront toujours
là
pour diffuser leur éclat sur tout ce que nous ferons, comme la douce
306
spirituelle, où il se livre tout entier. Et c’est
là
sa pureté, mais c’est aussi ce qui l’accule en fin de compte à l’évas
307
les portes du Royaume des Cieux. Il reste que les
temps
nous pressent de toutes parts au choix, jusque dans nos admirations,
308
s, victimes de valeurs sentimentales héritées des
temps
révolus, prenons garde de nous laisser convaincre par les seuls éclat
309
Ainsi Comme on vit mal comme on vit peu de
temps
au seul désir tant de corps refusés au seul plaisir un seul ange
310
ar l’apostolat du comte de Zinzendorf. C’était le
temps
du réveil sentimental et mystique dans une Allemagne luthérienne rava
311
e par l’Aufklärung et le rationalisme. C’était le
temps
aussi du « Sturm und Drang » auquel Goethe devait donner l’expression
312
tragique essentiel de notre condition. C’est bien
là
que réside l’élément transcendant qui interdit à la pensée la plus pr
313
ccentuer actuellement, la vérité ? N’est-ce point
là
porter un jugement avant tout partial, et qui révèle notre insuffisan
314
moderne, illustre avec un talent qu’il n’est plus
temps
de discuter, une position morale exemplairement ambiguë. Rien de plus
315
On serait en droit d’exiger d’un critique de son
temps
qu’il déclare ce qu’il attend de l’homme. Après quoi seulement l’on d
316
rait l’ordre de grandeur du grief qu’il fait à ce
temps
. C’est ce qu’en vain l’on cherche au cours de cette suite de messages
317
ionnaire, franchement acceptée, de l’autre. Notre
temps
est celui de la violence, inéluctable. Climat salubre des aventures s
318
rreur. La peur du sang, le goût du sang : ce sont
là
deux aspects morbides d’une même maladie bourgeoise. C’est à quoi mèn
319
s néfastes que les plus violents cataclysmes, car
là
où ils passèrent et répandirent leurs excréments, la terre même reste
320
e voient pas encore qu’il faut choisir. Or, notre
temps
ne comporte qu’un choix profond : christianisme ou marxisme. Ce qui r
321
montre un esprit averti des vraies valeurs de ce
temps
. Il réfute MM. Berl et Guéhenno, sur la question de la culture dans s
322
reuses pour l’ordre établi. « Nous vivons dans un
temps
où les philosophes s’abstiennent. Ils vivent dans un état de scandale
323
quoi l’on reconnaît l’intellectuel qui a pris son
temps
. Mais ce temps, où le prendre en conscience, et à qui ? De toutes par
324
naît l’intellectuel qui a pris son temps. Mais ce
temps
, où le prendre en conscience, et à qui ? De toutes parts ce serait tr
325
tembre 1932)g Si dans tous les écrits de notre
temps
il est question de bien, de mal, de vice et de vertu, de péché même,
326
e l’un équivaut presque à celle de l’autre. C’est
là
qu’éclate la violence des contraires. Pour tous ceux qui ont l’audace
327
ère. Mais le péché naît où meurt la foi, et meurt
là
où vit la foi. Au bien vulgaire des moralistes, Jouhandeau oppose le
328
vint pourtant que certaines, selon l’égarement du
temps
, tentèrent de vivre par elles-mêmes. Elles retirent les parcs qui les
329
rdant à cette géographie sentimentale, j’avais un
temps
conçu l’idée d’établir une Carte du Tendre de la nouvelle Europe cent
330
la tentation du pittoresque et défini, au goût du
temps
, les frontières de certains pays dont on venait à peine de reconnaîtr
331
traduise, en vertu d’une convention qu’il serait
temps
de réviser, par « démesure » et « confusion » ? Car il est trop certa
332
es dont la synthèse constituerait la gloire de ce
temps
, et, accessoirement, notre salut. Parmi les traits tout quotidiens
333
rix d’un désordre. Mais à l’Allemand, cette sorte-
là
de mensonge n’est guère sensible : la vérité pour lui étant ce qui s’
334
et politiques, l’on peut nommer ici Allemagne, et
là
, France. Il reste qu’un Empédocle, qu’un Zarathoustra, génies titaniq
335
l’ordre imposé. Passant à la limite du sentiment,
là
où il prend une valeur d’acte ou de jugement, l’on peut symboliser l’
336
xion concrète qui exalte la vie ; et dans le même
temps
, un jugement abstrait, qui la tue. Le sentimentalisme n’est pas du to
337
s yeux, c’était la guerre. Brève nuit d’août, le
temps
d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’aube dure. Alors nous ent
338
ez certaines choses par votre souffrance… Mais le
temps
approche où vous n’aurez plus besoin de souffrir pour comprendre. Le
339
femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le
temps
de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne sûmes pas dissimule
340
re flatteuse aux caprices redoutables. Cette nuit-
là
nous rencontrâmes des anges au coin des ruelles, des oiseaux nous par
341
é magnifique et angoissante. Il mêle tout dans le
temps
et l’espace. Cent années et tous les visages aimés revivent dans cett
342
parce qu’il n’y est pas avoué. — Ce que je me dis
là
, c’est un truisme. Truisme a l’air d’être le nom d’une de ces sirènes
343
chose qui se passe au centre de la pièce. Il y a
là
dans un espace vide un piano à l’aile levée, et devant le piano, assi
344
urs, des princes et des femmes à mourir. Et c’est
là
que paraît son étrange impuissance : tous ces accords de gloire et de
345
néma, l’ai-je aimée ? — Je lui sais gré de rester
là
muette, assez absente encore pour ressembler vraiment à son image. Je
346
nthe à son souvenir. Si je buvais assez il serait
là
. En attendant, les autres s’en vont ou disparaissent on ne sait comme
347
out y a son écho le plus pur. Le voyage trompe un
temps
cette angoisse. J’irai chercher moi-même, me suis-je dit, je ferai to
348
e situer dans l’ensemble des constructions. C’est
là
qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’
349
en oui : je me ferai un mérite de perdre tout mon
temps
, si toutefois perdre conserve ici le sens qu’il a pris dans ce monde,
350
ai à chercher mon bien de midi à quatorze heures,
temps
qu’ils réservent à la mastication, entre deux séries d’heures de trav
351
urer cette mastication. Mais je m’égare, laissons-
là
ces moutons. v Café amer En Hongrie l’on est assailli par le p
352
ui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-
là
ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement b
353
, — c’est alors ce qu’on appelait un paradoxe, du
temps
des petites manières. Cependant, la réalité d’un pays apparaissant en
354
ue ; je vous conseille de n’y plus penser quelque
temps
… Car on ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver
355
essus de la plaine, pas tout à fait dans le ciel,
là
où doivent vivre ceux qui « chantent ». L’après-midi est immense. Nou
356
fusion de sentimentalisme et de passion, et c’est
là
son miracle. Si tu n’as pas le sens de la musique, conserve quelque e
357
stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-
là
, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux ma
358
e lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit du
temps
tu vis, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu cet air inaccoutumé
359
ar la main. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce
là
tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
360
res semblables, en voyage, je me dis que c’est de
là
que j’ai tiré le sentiment d’absurdité foncière qu’il m’arrive d’épro
361
oit, ni même par lui, — mais à cet endroit, en ce
temps
. Qui sait si tu ne l’as pas reçue ? Une qualité, une tendresse, quelq
362
t assez longuement d’un des poètes auxquels notre
temps
doit vouer l’attention la plus grave — car il vécut dans ces marches
363
Hymnes une sérénité presque effrayante. Vient le
temps
où le sens de son monologue entre terre et ciel lui échappe. Il jette
364
maison, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a
là
une station de canots de louage où j’ai vite découvert un « Friedrich
365
ur, tout justement, nous fait comprendre, dans le
temps
même qu’il nous entrouvre le ciel, qu’il est bon qu’il y ait la terre
366
es herbes, se lève, saute sur place, — n’est plus
là
. — J’ai poursuivi longtemps le reflet rouge de ses yeux parmi les tro
367
nir un. — Parmi ces gens d’ici, qui prennent leur
temps
. Parmi ces arbres. 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que l
368
e cite ses vers en guise de proverbes à propos du
temps
ou des affaires locales ; mais les bourgeois de Meister parlent exact
369
e — dans l’intimité vivante de ses classiques. De
là
peut-être cette dignité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu
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, jusqu’aux détails de l’intendance des domaines.
Là
, toute démarche de la pensée s’accorde à des pentes variées et réelle
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si de leurs familiarités. J’étais attablé ce soir-
là
dans l’Auberge du Cerf, au premier, les pieds contre mon schnauzer en
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es chiens de tous les pays). Au bout d’un certain
temps
, et sans doute à cause de ce que je venais d’écrire, la faim me prit
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ois, oui je crois bien que je sens la vie tout le
temps
… 15 juillet 1929 Le père Reinecke me félicite de ma bonne mine,
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vide, la mèche se consume. Bois du lait, perds du
temps
, bats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au co
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tards d’où naissent le désir et la conscience. De
là
des pertes de temps ; mais de là aussi les inventions destinées d’abo
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nt le désir et la conscience. De là des pertes de
temps
; mais de là aussi les inventions destinées d’abord à les combler et
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a conscience. De là des pertes de temps ; mais de
là
aussi les inventions destinées d’abord à les combler et qui toujours
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endre d’une telle absence, qui vient au lieu d’un
temps
étrange et plus pesant que nulle part. Me voici tout environné de vil
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les yeux cessent de cligner, le corps se détend.
Là
devant, un chauffeur immobile guette les ornières profondes où les ro
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e gêne et de morgue. Et dire que ce sont ces gens-
là
— cette tourbe — qui se permettent de juger la noblesse terrienne. Di
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oblesse terrienne. Dire que ce sont ces bourgeois-
là
, bassement incapables de brutalité ou d’orgueil physiques, en revanch
382
s paysans qui s’inclinent sans contrainte. Est-ce
là
dire que le « retour » à tel état soit souhaitable ? La question me p
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se qui publie ces articles, me paraissaient en ce
temps
-là plus inquiétants que le fusil de chasse de mes hôtes prussiens. Et
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publie ces articles, me paraissaient en ce temps-
là
plus inquiétants que le fusil de chasse de mes hôtes prussiens. Et pu
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citadines. C’est dans les villes qu’on parle des
temps
nouveaux. Et l’on voit bien pourquoi les intellectuels, les ouvriers,
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i donc en taxi, « nous deux le fantôme ». Ce soir-
là
, le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adress
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versons la nuit rose et violette de Montparnasse.
Là
, l’insondable lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lisière
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ire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…). De
là
, je le suppose, une certaine misanthropie en germe : les êtres change
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me : les êtres changent trop vite, je n’ai pas le
temps
de me laisser envoûter ou de les rendre esclaves, hors de quoi je ne
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s êtres rêvés m’emportent ! — Ils me conduiraient
là
où je ne sais pas que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je re
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upart suffisantes. Francis de Miomandre n’est pas
là
. Il a téléphoné au début de l’après-midi qu’il commençait un roman. S
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aire ? — il est bientôt minuit20. Mon fantôme est
là
. Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais
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minuit20. Mon fantôme est là. Un chien, Dick, est
là
. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. A
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. Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas
là
, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. Albert Béguin, André Würmser,
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Würmser, Théobaldus Bombaste et Mlle Monnier sont
là
. Jacques Chenevière pourrait très bien être là, puisqu’en ma voisine,
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nt là. Jacques Chenevière pourrait très bien être
là
, puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille de neige. On la se
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adorables roseurs boréales. E. T. A. Hoffmann est
là
, sous un nom d’emprunt. Une femme fatale et un grand incompris sont l
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runt. Une femme fatale et un grand incompris sont
là
. Enfin Jean Cassou, représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de
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t Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est
là
. Peut-être aussi Jean de Boschère, en dépit de certaines apparences.
400
nde fabriqué pour leur usage par les hommes de ce
temps
est à tous points de vue le plus irrespirable à l’homme. 2° Les fonde